
Yukio Mishima, les mots versus la chair
Yukio Mishima tisse, dans « Le soleil et l’acier », une réflexion à la fois intime et universelle, où le corps devient une forteresse face à la corrosion des mots, et où la beauté classique s’entrelace avec une pulsion romantique vers l’autodestruction, culminant dans son seppuku en 1970.