
Libre journal de la Nouvelle Droite : « Écrire le désastre français »
Libre journal de la Nouvelle Droite dirigé par Thomas Hennetier, assisté de Alix de Saint Clare : « Écrire le désastre français ».
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Libre journal de la Nouvelle Droite dirigé par Thomas Hennetier, assisté de Alix de Saint Clare : « Écrire le désastre français ».
Autrefois, les puissants se contentaient de nous piétiner. Aujourd’hui, ils nous piétinent et ils nous font la leçon. La Nouvelle Librairie peut en témoigner. Un plumitif appointé par Jeff Bezos, le patron d’Amazon, l’homme le plus riche
Audio conférence de Grégoire Gambier réalisée dans le cadre des causeries littéraires des Jeudis de l’Iliade autour d’Ernst Jünger et de son ouvrage « Sur les falaises de marbre ». Présentation par Grégoire Gambier, Délégué général de l’Institut Iliade.
A l’occasion de la parution de la traduction espagnole de son ouvrage « Putain de Saint Foucault. Archéologie d’un fétiche » François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments est l’invité de José Javier Esparzade sur la chaine
Dans le « Libre journal de la Nouvelle Droite » du 9 avril 2019, Thomas Hennetier, assisté d’Alix de Saint Clare, reçoit : Thibault Mercier, avocat et Maxime Dalle, écrivain.Thèmes : “Discriminer ou disparaître ; Raskar Kapac, jeune gazette
Retrouvez Oliver Maulin à la Nouvelle Librairie le jeudi 11 avril à 18 h pour la soirée de lancement de son nouveau né, « Le populisme ou la mort ». La Nouvelle Librairie, 11 rue de Médicis, 75006 Paris.
On veut à tout prix faire de lui un écrivain, mais il y en a bien assez. S’il n’avait été que cela, parlerait-on encore de lui aujourd’hui.
Le rôle de Dobrica Ćosić est comparable, au sein de sa nation, à celui d’un Victor Hugo en France. Résistant communiste, commissaire politique, apparatchik, il avait fait entendre une voix singulière sitôt qu’il eut pris la plume et publié un étonnant premier roman sur la guerre des partisans: «Loin est le soleil».
«Au temps béni des colonies … » : le titre gouailleur d’une chanson populaire sur l’Afrique de grand-papa, ses petits plaisirs et ses petites bassesses. Il résume assez bien le dernier roman de Jean Cau : 220 pages de rêve, d’aventure et de nostalgie, qui font danser la poussière du grenier national sous un curieux soleil tropicalo-patriotique. À lire au premier comme au deuxième et au troisième degré. Le temps de la culpabilisation est passé. Le moment d’examiner, sans fausse pudeur l’aventure coloniale est peut-être venu.
Cela fait une demi-douzaine d’années que j’évoquais dans « Éléments » ce qui était alors le dernier roman de Jean Raspail : « La hache des steppes ». Fort heureusement, ce n’était pas le dernier… Et voici que se confirme le talent d’un écrivain qui a trouvé vers la cinquantaine un second souffle, qui le place désormais parmi les meilleurs romanciers de notre temps.
À soixante-six ans, Henri Vincenot a recueilli son plus grand succès littéraire. Jean Mabire a lu La billebaude. Et il s’interroge, non sans scepticisme, sur l’engouement actuel des Français en faveur des récits d’autrefois. Est-ce un monde définitivement perdu qu’ils aiment aujourd’hui à redécouvrir ?
Celui que dépeint Henri Vincenot dans son livre est en tout cas plein de couleurs et de sève ancestrale. À l’image de son auteur qui, avec ses enfants, a reconstruit en Bourgogne un village abandonné. Après une vie bien remplie.
Certes, les récits de Tolkien retentissent d’exploits héroïques et de formidables affrontements. Et pourtant il y a constamment chez lui une indéracinable nostalgie de l’immobilité et de la paix, d’un mythique et anglissime âge d’or.
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