
Dans cette nouvelle mission, Omerta reçoit notre collaborateur Lionel Baland, pour analyser la montée des mouvement patriotes et nationalistes dans de nombreux pays d’Europe, se penchant sur les différentes causes de ce mouvement général, ses conséquences et la manière dont la France pourrait s’inspirer de ces réussites.

Trente ans après Srebrenica, la Bosnie vit toujours dans l’ombre du 11 juillet 1995. Consacré « génocide » par les Nations unies, l’événement a figé la mémoire du conflit dans une lecture univoque : des bourreaux serbes, des victimes musulmanes. Or, une part entière de la guerre reste refoulée — celle des villages serbes rayés de la carte, des civils assassinés, des églises rasées. Pour les Serbes, la justice internationale a tranché avant d’instruire. À La Haye, l’histoire a été écrite à coups d’acquittements sélectifs et de qualifications discutables, au prix d’une humiliation mémorielle qui alimente la défiance. À mesure que le « génocide de Srebrenica » devient dogme politique, toute relecture factuelle est frappée d’anathème. Dušan Pavlović, ancien expert au Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, refuse cette amnésie organisée. Explication.

Comme souvent dans l’Histoire, ce qui commence en tragédie finit en farce. Les rapports houleux et passionnels entre la France et l’Algérie n’échappent pas à la règle, étant passés d’une guerre réelle à un antiracisme irréel. Avec les conséquences qu’on sait.

Si la démocratie de la République fédérale allemande, mise en place par les forces d’occupation occidentales après la Seconde Guerre mondiale, a accompagné le miracle économique de l’après-guerre, produit de l’ordolibéralisme, et a fonctionné durant plusieurs décennies, l’Allemagne actuelle voit son système se transformer et celui-ci n’être désormais plus démocratique. En effet, en quelques années, le pays a dérivé vers une adémocratie, ceci de plus en plus ouvertement, la cause principale de cette évolution étant la montée en puissance du parti patriotique Alternative für Deutschland (AfD) et sa répression de plus en plus virulente par les autorités.

Vouloir briguer des fonctions pour lesquelles on n’est pas fait, que ce soit en politique ou en d’autres domaines ? Comme si certains ignoraient leurs seuils de compétences respectifs. Pour les plus savants, on évoquera le principe de Peter. Plus communément, ce syndrome peut aussi être ainsi qualifié : flatuler plus haut que son séant. Explications.

Jean-Eudes Gannat n’a pas braqué une banque, poignardé un passant ni incendié un commissariat. Il a tourné une vidéo de vingt-quatre secondes devant un Leclerc de campagne, dans le Maine-et-Loire, montrant un groupe d’Afghans assis devant le magasin. Vingt-quatre secondes, une phrase ironique et cette légende jugée blasphématoire par la justice : « Marre de vivre avec les cousins de talibans au fin fond de nos campagnes. » Résultat : garde à vue, mise en examen pour « incitation à la haine raciale », interdiction partielle des réseaux sociaux, contrôle judiciaire jusqu’en mai 2026. L’État a dissous l’Alvarium, la structure identitaire angevine créée par Jean-Eudes Gannat, mais poursuit ses anciens membres avec la même ardeur bureaucratique que s’il s’agissait de terroristes. À l’heure où les multirécidivistes circulent librement et où l’insécurité prospère, filmer des migrants devient un crime de lèse-République. « Décrire le réel est interdit », a résumé Gannat avant d’être conduit au poste.

Les New-Yorkais ont élu ce mardi 4 novembre leur premier maire socialiste et musulman, offrant une victoire historique au démocrate d’extrême gauche Zohran Mamdani. Âgé de 34 ans, ce dernier s’est empressé d’annoncer un mandat explosif, appuyé sur un programme social progressiste susceptible de faire exploser le budget. Le nouveau maire a également pratiquement déclaré la guerre au président Trump.
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