
Edouard Chanot et Chocs du monde reçoivent Lionel Rondoin sur TV Libertés. Plongée au cœur d’une guerre métamorphosée, où la stratégie se joue désormais au niveau des drones et des fantassins. Or, l’Ukraine n’a plus assez d’hommes, l’Europe d’argent et d’industrie militaire. À Pokrovsk, dans le Donbass, que Kiev a érigé en « priorité absolue », la défaite est proche. Tandis que Zelensky réclame à ses alliés européens aveugles de prolonger l’effort financier « deux ou trois ans », une question demeure : jusqu’à quand la folie de l’Occident collectif perdurera ?

Jean-Eudes Gannat n’a pas braqué une banque, poignardé un passant ni incendié un commissariat. Il a tourné une vidéo de vingt-quatre secondes devant un Leclerc de campagne, dans le Maine-et-Loire, montrant un groupe d’Afghans assis devant le magasin. Vingt-quatre secondes, une phrase ironique et cette légende jugée blasphématoire par la justice : « Marre de vivre avec les cousins de talibans au fin fond de nos campagnes. » Résultat : garde à vue, mise en examen pour « incitation à la haine raciale », interdiction partielle des réseaux sociaux, contrôle judiciaire jusqu’en mai 2026. L’État a dissous l’Alvarium, la structure identitaire angevine créée par Jean-Eudes Gannat, mais poursuit ses anciens membres avec la même ardeur bureaucratique que s’il s’agissait de terroristes. À l’heure où les multirécidivistes circulent librement et où l’insécurité prospère, filmer des migrants devient un crime de lèse-République. « Décrire le réel est interdit », a résumé Gannat avant d’être conduit au poste.

Les New-Yorkais ont élu ce mardi 4 novembre leur premier maire socialiste et musulman, offrant une victoire historique au démocrate d’extrême gauche Zohran Mamdani. Âgé de 34 ans, ce dernier s’est empressé d’annoncer un mandat explosif, appuyé sur un programme social progressiste susceptible de faire exploser le budget. Le nouveau maire a également pratiquement déclaré la guerre au président Trump.

Aujourd’hui, plus aucun parti de « l’arc républicain », seul terrain de jeu politique autorisé et délimité par de hautes figures morales telles que Nicolas Sarkozy, n’est réellement et totalement opposé à l’immigration. Enrichissement bénéfique et exigence morale pour la gauche, nécessité économique pour la droite, il s’agit désormais, au mieux, de la « réguler », de la « policer », pour, au final, l’institutionnaliser définitivement. Retour sur une trahison identitaire et morale.

Les sondages se suivent et se ressemblent. Et à chaque fois, cette tendance qui se confirme : l’inexorable montée du Rassemblement national, tel qu’en témoigne celui d’Elabe, publié par La Tribune dimanche et BFMTV, ce 2 novembre, et relatif à la prochaine élection présidentielle.

Le couple formé par la droite chrétienne américaine et Israël avait tout d’un mariage prospère. Mais le vernis se craquelle peu à peu, tant et si bien que la droite évangélique rompt doucement avec son allié historique. Un divorce qui pourrait rebattre les cartes du trumpisme.

Dès qu’il est question de l’IA, on se demande quels en seront les bons et les mauvais usages. On entend maîtriser et réglementer cet outil. Pourtant, l’IA n’est pas un outil, c’est une machine. Ça change tout, à tel point que la bonne question n’est pas de savoir ce que nous allons faire avec l’IA, mais ce qui va arriver à l’homme à l’ère de l’IA.
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