L’écrivain, la politique et le vestiaire
À la mort de Lucien Rebatet, en 1972, les chiens de garde s’étaient pourléchés. Un petit coup de langue sur « Les deux étendards », un autre sur « Une histoire de la musique », et, pour un peu, l’auteur des « Décombres », briqué de neuf, trouvait siège sur la bergère.