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Patrice Jean

Les fantômes de Patrice Jean

Renaudot, Goncourt, Femina… c’est la saison des prix littéraires. Inexorablement, les romans favoris des jurés germanopratins parisiens sont distingués chaque année, parmi les centaines de romans édités. L’occasion pour Éléments de mettre en avant un ouvrage de cette rentrée plébiscité par la rédaction : « La Vie des spectres » de Patrice Jean. Depuis l’Homme surnuméraire paru en 2017, l’auteur nantais s’est imposé comme un des plus grands romanciers français de notre époque. Chacun de ses romans est attendu et remarquable, La Vie des spectres ne déroge pas à la règle. L’auteur de La poursuite de l’idéal reprend les ingrédients habituels de ses romans : thèmes de prédilection (la littérature, le militantisme, l’éducation nationale, la place de l’homme dans la société, la famille), maîtrise de la langue et virtuosité du style.

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Dédicace – Patrice Jean & Olivier Maulin

Olivier Maulin et Patrice Jean. Deux romanciers de haut vol. Deux plumes atypiques. La Nouvelle Librairie est fière de les réunir ce jeudi 27 octobre à l’occasion des sorties de leurs derniers livres : Le Temps des loups et Louis

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Le naufrage de l’Éducation nationale vu de l'intérieur

Le naufrage de l’Éducation nationale vu de l’intérieur

Les résultats du baccalauréat sont tombés cette semaine : 85% de réussite avant les rattrapages. Félicitons les bacheliers et profitons-en pour lire le roman satirique de Patrice Jean : Rééducation nationale. Les professeurs atterrés par le niveau de leurs élèves – l’enseignement de l’ignorance tourne à plein régime depuis des décennies -, et parfois par celui de leurs collègues, reconnaîtront peut-être leur quotidien : novlangue pédagogique, professeurs idéologues, conformisme, couardise et imbécillité. Jeune professeur idéaliste, lis d’abord Rééducation nationale avant de t’aventurer dans l’enseignement, tu ne pourras pas dire que tu n’étais pas prévenu !

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Qui lit aujourd’hui les poètes ? Une polémique entre Michel Marmin et Anthony Marinier

Qui lit aujourd’hui les poètes ? Une polémique entre Michel Marmin et Anthony Marinier

Notre entretien avec Patrice Jean, « Les militants vont-ils tuer la littérature ? », a fait sursauter Michel Marmin, non pas les réponses de Patrice Jean, dont Michel Marmin a été parmi les premiers à entrevoir l’importance littéraire, mais une question d’Anthony Marinier, qui interrogeait Patrice Jean sur la pétition visant à empêcher Sylvain Tesson de parrainer le Printemps des poètes 2024, faisant remarquer qu’elle avait été signée « essentiellement [par] des poètes autoproclamés que personne ne lit ». Doit-on juger la qualité d’un poème et plus largement la poésie au nombre de lecteurs ? N’est-elle pas au contraire dans son essence même un art qui échappe au jugement de la foule ? Doit-elle pour autant ne s’adresser qu’à un public élitiste ? Qu’est-elle au juste ? La parole à Michel Marmin et Anthony Marinier.

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Patrice Jean

Les militants vont-ils tuer la littérature ?

Au secours Kafka, ils sont devenus fous ! Sous les assauts combinés de la sociologie, du nombrilisme psychologisant et de la fièvre épuratrice des militants de tous poils, la littérature contemporaine est au bord de l’abîme. Peut-on encore éviter sa chute définitive ? Patrice Jean nous donne sa réponse.

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Patrice Jean

Des lettres mortes aux lettres vivantes de la littérature (4/4)

De François Rabelais à Patrice Jean, l’humour est le grand souffle de l’art romanesque, qui l’empêche de mourir. Introduisant une distance avec soi-même, il préserve contre le conformisme et les certitudes idéologiques. Une série de Sylvie Paillat, docteur en philosophie, auteur de la Métaphysique du rire (L’Harmattan, 2014).

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Je souhaiterai que chacun lise au moins un livre qui lui donne envie de vivre plus intensément, d’aimer, de créer et de se battre contre la médiocrité du temps

« Je souhaiterais que chacun lise au moins un livre qui lui donne envie de vivre plus intensément, d’aimer, de créer et de se battre contre la médiocrité du temps »

La période des vacances est propice à la lecture personnelle et également l’occasion d’offrir des livres à ses proches. Dans ce contexte, le site de réinformation Breizh Info a décidé d’interroger un panel de personnalités de la « dissidence » sur leurs goûts et inclinations littéraires. Xavier Eman, rédacteur en chef de la revue Éléments, s’est soumis à l’exercice.

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Vers la fin de la suprématie occidentale numéro 211 de la revue éléments
Éléments

Vers la fin de la suprématie occidendale

Éditorial 03 Dépolitisation, par Alain de Benoist 04 Agenda, actualités L’entretien 06 Stephen Mennell : « Les USA ont une perception faussée d’eux-mêmes et du monde », propos recueillis par Thomas Hennetier Cartouches 11 L’objet disparu : la carte postale,

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Autopsie de la littérature: entrez dans la « zone » de Juan Asensio !

Autopsie de la littérature: entrez dans la « zone » de Juan Asensio !

Depuis plus de 20 ans, une voix singulière dans le monde littéraire se débat furieusement pour défendre une certaine vision du livre et de la critique. En 2004, Juan Asensio ouvrait le site Stalker, une « Zone littéraire » qu’il tient avec vigueur et rigueur depuis lors, l’alimentant au gré de ses lectures. Ses notes, d’une grande érudition et d’une grande exigence, fort loin de la critique grand public et consensuelle, sont de véritables études qui explorent l’œuvre romanesque d’auteurs majeurs, pour certains méconnus ou tombés dans l’oubli.

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Alexandre Tremblay

Face au wokisme : ceux qui choisissent la soumission

D’Evergreen à Sciences Po, des sensitivity readers à la réécriture de certains textes, à l’université comme dans l’édition, les pressions woke s’intensifient. La méritocratie est remplacée par la discrimination positive et la recherche des compétences par celle de la sacro-sainte « diversité ». La pression sociale constante pousse à taire ses convictions, à agir et parler contre soi. Le prix à payer pour braver l’interdit est terriblement dissuasif, alors d’aucuns préfèrent rester discrets, faire le dos rond et collaborer. C’est ce choix et les mécanismes psychologiques qui le sous-tendent que l’auteur québécois Alexandre Tremblay nous décrit dans son remarquable roman « Le Censeur ».

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