Description
La Dilcrah, fossoyeur de nos libertés
L’enfer est pavé de bonnes intentions. La Dilcrah aussi, dont l’objectif proclamé est la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti LGBT. Trois présidents, Nicolas Sarkozy, le fondateur, François Hollande, le consolidateur, et Emmanuel Macron, le protecteur, ont construit, développé et pérennisé ce « bidule », qui s’est transformé en machine de guerre liberticide, interdisant de facto l’humour, l’ironie, la nuance, entretenant les maux qu’il est censé combattre. Un organisme qui agit comme un producteur d’électricité statique autour de ses obsessions, le racisme et la transphobie, en hystérisant le débat et en l’étouffant. Une saine compréhension de sa nocivité devrait conduire à une mesure de salubrité publique : la disparition de cette institution.
Sur le thème « Soyez informé sur ceux qui vous informent », Claude Chollet a fondé l’Observatoire du journalisme (Ojim) en 2012. Depuis sa création, l’Ojim a publié plus de 5 000 articles, 230 portraits de journalistes et 30 infographies. La Dilcrah est la quatrième brochure de la collection Desintox, consacrée aux médias.
Désintox est une collection qui veut réintroduire une bouffée d’oxygène dans l’atmosphère confinée des médias français. Elle pratique l’« effet vampire ». Pour faire disparaître le vampire du politiquement correct, rien de tel que de l’exposer à la lumière.
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