La « tête de feuilles » est un motif allégorique très particulier, que l’on retrouve en abondance dans l’architecture médiévale. Il s’agit d’une tête d’homme (généralement barbu), dont une partie du visage ou plus généralement la chevelure, est formée de feuilles ou de feuillages. Cet effet de composition peut prendre diverses formes. Quand il y a fusion complète de l’élément végétal et de l’élément humain, on parle de « tête de feuilles » au sens propre (angl. Foliate Head ; all. Blattmaske) ; quand il y a au contraire séparation de ces deux éléments on parle plutôt de « masque feuillu » (angl. Leaf Mask ; all. Maske im Ranken). Ce motif est particulièrement répandu au nord des Alpes ; il ne figure pas dans l’architecture de l’église chrétienne orientale. On peut le voir, entre autre, sur le socle de la célèbre statue du chevalier de l’église de Bamberg, à l’abbaye cistercienne de Fountains, en Angleterre, à l’église San-Pietro-de-Toscanella, en Italie, sur différents monuments funéraires de Neumagen, près de Trèves (actuellement au Rheinisches Landesmuseum de Trève), et aussi sur la tombe de sainte Abre (IVe ou Ve siècle, fête le 12 décembre) qui se trouve dans l’église Saint-Hilaire-le-Grand, à Poitiers.
Depuis longtemps, la « tête de feuilles » a intrigué les chercheurs. On lui a notamment cherché des antécédents (pas toujours convaincants) dans le recours à l’antique aux feuilles de laurier ou d’acanthe (têtes « couronnées »). Dans l’ouvrage collectif publié sous la direction de H. R. Ellis Davidson, Symbols of Power (D. S. Brewer Ltd., Cambridge, 1977), K. H. Basford (Quest for the Green Man, pp. 101-120) évoque aussi d’anciens cultes agrestes d’origine gréco-romaine : mythe d’Océan et de Silvanus, association avec des thèmes bachiques ou dionysiaques, etc.
D’autres travaux, apparemment plus sérieux, tracent un parallèle très intéressant entre la « tête de feuilles » et un personnage du folklore anglais associé, à titre de figure printanière, aux festivités traditionnelles du Mai. Ce personnage, dont on retrouve des équivalents dans la plupart des pays d’Europe, est parfois appelé The Green Man (« l’homme vert »), the Wild Man (« l’homme sauvage »), Green George (« George Vert » ; il est alors assimilé à saint Georges, le tueur de dragon national). Mais son nom le plus courant est Jack in the Green (littéralement « Jack dans le vert » ; on pourrait dire : « Jack la verdure »). À la fin du siècle dernier, P. H. Ditchfield lui a consacré une longue étude, dans son livre classique Old English Customs Existant at the Present Time (1896).
Le roi du Mai
Jack in the green représente, en quelque sorte, la transition du printemps à l’été, la pleine floraison des végétaux et des êtres. Il s’agit d’un personnage disposant de pouvoirs de fertilité, et surtout de régénération. Dans les campagnes anglaises, sa popularité est considérable. C’est lui le « roi du Mai » (May King), et à ce titre il « épouse » chaque année la plus jolie fille du village, la « reine du Mai » (May Queen). Ce qui est intéressant, c’est son costume (qui, dans toutes les régions, est le même, et qui justifie son nom). Jack-in-the-green est invariablement revêtu, en effet, de feuilles et de branchages qui le transforment en une sorte de « végétal humain » mobile. La tradition veut qu’il disparaisse complètement sous la verdure, à la seule exception de ses yeux, ce qui lui permet d’« épier » à travers la végétation tout ce qui se passe autour de lui. Le sens de cet « œil dans la verdure » est assez clair, d’un point de vue symbolique ; toutefois, on ne sait plus très bien à quoi il renvoie exactement. Au cours de la fête du Mai, Jack in the Green doit d’abord faire semblant d’être mort (à l’instar de la terre, qui paraît morte pendant l’hiver). Puis, à un certain moment, il « ressuscite » brusquement et s’élance pour danser avec la « reine du Mai ». On célèbre alors leur « union », en même temps que le retour annuel de la vie.
Avec quelques variantes, cette intervention de Jack in the Green dans les défilés et les jeux de Mai est partout répandue en Angleterre (notamment à Knutsford, Cheshire, lors du célèbre et splendide Royal Festival May Day). On retrouve son visage, sous la forme précisément d’une « tête de feuilles », sur bien des enseignes d’auberges de villages. Le parallèle entre l’« homme vert » du Mai et le motif médiéval de la « tête de feuilles », et d’autre part, entre les fêtes païennes du Mai (fertilité, végétation, retour de la vie) et certaines survivances populaires modernes, apparaît dons assez justifié. Depuis un célèbre article publié en 1939 par Lady Raglan dans la revue Folklore, les folkloristes britanniques donnent d’ailleurs à la « tête de feuilles » le nom générique de Green Man.
Et voici Robin des bois
Là où l’« affaire » prend une certaine ampleur, c’est lorsque l’on constate qu’un autre parallèle a été dressé entre l’« homme vert » (Green Man) des fêtes du Mai et un personnage semi-légendaire connu de tous les enfants du monde, et spécialement des enfants anglais : Robin Hood, alias Robin des bois ! Il semble bien en effet que la « légende de Robin » résulte d’un amalgame entre des faits historiques et des éléments mythiques, auxquels Jack in the Green n’est nullement étranger.
La « patrie » de Robin des bois est, comme chacun sait, la célèbre forêt de Sherwood, située dans le Nottinghamshire et qui s’étend actuellement du Nord de Nottingham jusqu’à Worksop (région de Barnsdale, Doncaster, etc.). C’est là dans cette partie de l’Angleterre, qui fut au IXe siècle l’un des centres de la colonisation scandinave, que Robin aurait défendu la veuve et l’orphelin contre la méchant « shérif de Nottingham », sous le règne d’un souverain identifié tantôt à Richard Ier, tantôt à Jean sans Terre, tantôt à Edouard II ou à Henri III. Toutefois, la popularité de Robin a largement débordé le Nottinghamshire, ainsi qu’en témoignent différents lieux-dits du Yorkshire aussi bien que du Lincolnshire Robin Hood’s Bay, Robin Hood’s cave, Robin Hood’s Chase, Robin Hood’s Cup, Robin Hood’s Chair, etc.
La première mention de Robin des bois que l’on possède se trouve dans The Vision of Piers the Plowman, qui date de 1377 ou 1378 (« I can rames of Robyn Hood and Randolf, Erle of Chestre. »). Mais à cette époque, le héros est déjà connu par la tradition orale : le mythe de Robin semble être pleinement élaboré dès la première moitié du XIVe siècle. Robin Hood est ensuite cité par Andrew of Wyntoun dans l’Original Chronicle of Scotland, rédigée vers 1420. Aux XVe et XVIe siècles, sa popularité atteint son apogée. Parmi les ballades dont il est le héros, Robin Hood and the Monk pourrait remonter au règne d’Edouard II, Robyn and Gandelyn et Robin Hood and the Potter ne sont certainement pas postérieures au XVe siècle. Un autre texte très connu, A Lytell Geste of Robyn Code, fut imprimé pour la première fois en 1510. À l’époque élisabéthaine, les mentions de Robin abondent. Dès cette époque, Robin est le héros d’une quantité considérable d’aventures. Vers la fin du Moyen Âge, Robin Hood semble même avoir été le héros par excellence des paysans, tout comme le roi Arthur était le héros des couches supérieures : Robin est le fermier, le yeoman idéal, tout comme Arthur est le chevalier idéal. Enfin, à l’époque moderne, de nombreux écrivains, comme Walter Scott (Ivanhoé, 1819), ajouteront encore à l’élaboration littéraire de la légende.
Le « mythe » de Robin des bois a-t-il une base historique ? C’est très probable. On a d’ailleurs émis de multiples hypothèses. On a représenté Robin comme l’âme de la résistance saxonne contre les conquérants normands à la fin du XIIe siècle (cf. Augustin Thierry et Walter Scott). J. M. Gutch a fait de lui un partisan de Simon de Montfort ! On a également associé son nom (cf. plus haut la citation de Piers the Plowman) à Randle, comte de Chester, troisième du nom. Enfin, la version la plus courante fait de lui un grand seigneur dépossédé de ses terres par l’arbitraire royal.
C’est, semble-t-il, lors de la révolte paysanne de 1381 contre l’administration royale anglaise, que la légende prit corps sous la forme qu’on lui connaît. Robin Hood est alors le héros populaire qui joue de « bons tours » aux représentants du roi considérés comme des envahisseurs (le personnage évoque Till Uilenspiegel – Tyl l’Espiègle et ses « tours » contre l’occupant espagnol aux Pays-Bas ; le parallèle pourrait d’ailleurs être approfondi). (On verra aussi resurgir la légende de Robin en plein XIXe siècle, lors de la révolte de Ned Ludd, en 1811-1812).
Indépendamment de ces traits « historiques », il ne fait pas de doute que Robin Hood possède aussi une dimension mythique, qui l’apparente directement à Jack in the Green. Enpremier lieu, il est d’évidence lié à la végétation. Son costume est traditionnellement de couleur verte : il est le Green Man, l’« homme vert ». Son terrain d’action est une forêt, et celle-ci semble jouer un rôle plus important qu’un simple cadre géographique. Par son nom, Robin des bois apparaît comme l’incarnation de la forêt, le génie de la forêt de Sherwood. (Dans le récit dont il est le héros, ce trait est constamment souligné). Par ailleurs, Robin Hood est un archer, un chasseur, un ami des animaux, le protecteur de la végétation (fertilité), le protecteurs des faibles, et notamment des femmes (fécondité), le protecteur du peuple (productivité). C’est grâce à ses interventions que les biens matériels se trouvent redistribués, et plus justement répartis. Tous ces traits situent bien Robin dans le prolongement d’une ancienne divinité de « troisième fonction » (presque toutes les fêtes rurales saisonnières sont dans la dépendance de la troisième fonction).
À cela s’ajoutent les liens particuliers, très significatifs, que le personnage de Robin entretient avec des éléments directement liés aux festivités du Ier mai, en particulier la « Morris-Dance » et la « Maid Marian » (Marion) – liens qu’il semble difficile d’expliquer par une simple coïncidence.
« Morris-Dance » et « Maid Marian »
La « Morris-Dance » (ou « Morrice-Dance ») est une vieille danse populaire, qui aurait été introduite en Angleterre par John of Gaunt à partir d’un emprunt espagnol. On l’a en effet rapprochée du fandango hispano-mauresque ; son nom renvoie évidemment aux Maures et signifie « danse mauresque ». Les premières mentions de cette danse remontent à Henry VII d’Angleterre. Sous Henry VIII, la « Morris-Danse » constitue l’un des éléments essentiels de la célébration rurale du Mai. À cette date, elle a pris une forme quasi rituelle du plus haut intérêt. Elle est dansée (sous forme de spectacle) par cinq hommes, auxquels s’ajoute un garçon habillé en fille et que l’on appelle Maid Marian (cf. Cecil J. Sharp et H. C. Macilwaine, The Morris Book). Or, cette « Maid Marian » (Damoiselle Marion) est une des héroïnes principales de la légende de Robin Hood, et le nom de ce dernier se trouva associé, concurremment à celui de Jack in the Green, en tant que partenaire de Maid Marian, à la fête du Mai : Robin des Bois devint le « roi du Mai », et Maid Marian, la « reine » de cette même fête – ce qui donne à penser qu’un lien était assez nettement perçu entre le caractère spécifique du Mai et le héros de la forêt de Sherwood.
Aux XVIe et XVIIe siècles, Maid Marian était devenue – en association, tantôt avec Robin, tantôt avec Frère Tuck – un personnage-clé de la fête du Mai. À ce titre, elle connut une immense célébrité, dont témoignent les Frutefull Sermons de Hugh Latimer, qui datent de 1571. Le couple Robin/Marian devint alors courant dans la littérature. On trouve d’ailleurs les deux noms en association dans plusieurs textes français, à commencer par l’œuvre célèbre de Adam de la Halle (XIIIe siècle), le Jeu de Robin et de Marion.
Dans les ballades dont Robin est le héros, Marion/Marian est mentionnée deux fois. Il existe en outre une légende plus tardive, citée par F. J. Child (English and Scottish Ballads), qui raconte comment Maid Marian, ayant cherché Robin déguisé en page dans la forêt, se battit avec lui pendant une heure avant de le reconnaître à sa voix. Cette mention d’un déguisement est peut-être importante ; on a vu plus haut que dans la « Morris-Dance », Marian était un garçon déguisé en fille ; dans les deux cas, il y a une quête d’un personnage par l’autre, un travestissement, une (re)découverte, etc. (Ce thème du personnage non immédiatement reconnu est courant dans les contes populaires). Il faut rapprocher ce thème de deux pièces, écrites en 1598 par Anthony Munday et Harry Chettle, The Downfall et The Death of Robert Earl of Huntingdon. Dans ces drames, une dénommée Matilda Fitz Walter échappe aux poursuites du roi Jean en suivant son amant dans la forêt de Sherwood, où ils prennent tous deux les noms de Robin Hood et Maid Marian. Cette fable semble elle-même en rapport avec l’histoire du hors-la-loi nommé Fulk Fitz Warin : dans cette histoire, Matilda ou Mahaud, veuve de Theobald Walter, échappe aux sollicitations du roi Jean en épousant le hors-la-loi Fulk, avec qui elle habite dans la forêt. Enfin, on connaît d’autres légendes « historiques » dans lesquelles ce même roi Jean poursuit trois Matilda (cf. H. L. D. Ward Catalogue of Romances). Toutes ces narrations furent probablement réunies et mêlées en une seule intrigue par les auteurs élisabéthains, qui les associèrent aux thèmes de Marion et Robin des bois.
La « Morris-Dance » fut interdite à l’époque du puritanisme, en même temps que les autres coutumes du Mai. Mais elle fit bientôt sa réapparition, et s’est maintenue jusqu’à nos jours en de nombreux endroits (Maid Marian étant souvent personnifiée, par la suite, sous les traits d’un clown nommé Malkin ou Marykin – exagération probable d’un élément de déguisement dont le sens avait été perdu).
Un dernier détail : dans les récits dont il est le héros, Robin Hood apparaît comme foncièrement antireligieux. Il est en particulier l’ennemi juré des moines et des abbés (Frère Tuck étant un « transfuge »). Ce trait convient évidement assez bien à une figure d’origine (partiellement) païenne. En revanche, il est dit à plusieurs reprises que Robin honore grandement la Vierge Marie. À la lumière de ce qui précède, on peut se demander si cette « Vierge Marie » n’est pas tout simplement la Maid Marian (Marion).
Le « jeu du décapité »
Pour terminer, nous signalerons un autre fait, qui constitue une éventuelle piste à suivre : c’est l’existence, dans le cycle des romans arthuriens, d’un personnage assez mystérieux, qui est, lui aussi, un « homme vert » (Green Man) et qui se trouve associé à une tête – non une « tête de feuilles », mais une « tête coupée » – dans une scène assez énigmatique dont on a pu montrer qu’elle possédait des antécédents lointains. Il s’agit du « chevalier vert » que l’on voit apparaître dans Knight Gawain and the Green Knight, texte de la fin du XIVe siècle, édité en français par Émile Pons (Sire Gauvain et le Chevalier vert, Aubier, 1946). Ce mystérieux Chevalier vert arrive le jour du Nouvel An à la cour du roi Arthur, et « défie un chevalier de le décapiter avec la condition que ce dernier s’expose au même sort un an plus tard ». Gauvain relève le défi. Le Chevalier vert est donc décapité, et s’en va en emportant sa tête. Un an plus tard, il revient et somme Gauvain se tenir parole. Fidèle à son serment, Gauvain accepte de se faire couper la tête, mais le Chevalier vert l’épargne et devient son ami.
Cette scène est assez curieuse, et l’on y a vu, non sans raison, le rappel d’un vieux rite ou d’une vieille croyance ayant trait, encore une fois, à la végétation, à la « mort qui n’en est pas une », à la « résurrection » annuelle de la fertilité végétale et humaine, au sacrifice nécessaire (par l’intermédiaire d’un héros) pour que la « quête » s’accomplisse et que la vie revienne, etc. Ce thème a pu se combiner, d’une part, avec celui de l’homme vert et de la tête (« de feuilles »), et d’autre part, avec l’importance bien connue chez les Celtes du culte de la tête coupée.
Le prototype mythologique du « jeu (arthurien) du décapité » se trouve apparemment dans le Festin de Bricriu (Fled Bricrenn), texte en prose irlandaise, figurant dans un manuscrit de v.1100, qui a été traduit en français dès la fin du siècle dernier par d’Artois de Jubainville (L’épopée celtique en Irlande, 1892). Son personnage central est le grand héros Cúchulainn. Dans ce récit, Conall Cernach, Loigaire et Cúchulainn vont trouver le géant Terrible, fils de Grande Crainte (Uath Macimomain), qui leur fait la proposition suivante : « J’ai une hache. Qu’un de vous la prenne et me coupe la tête aujourd’hui, moi je lui couperai la tête demain. » Cúchulainn relève le défi. Le lendemain, il revient se soumettre à la peine prévue. Le géant lève alors et abaisse trois fois sur lui sa hache, sans le toucher, et déclare : « Lève-toi, Cúchulainn ! À toi la royauté des guerriers d’Irlande et le morceau du héros, personne ne peut te le contester ! » Le parallèle avec la légende du Chevalier vert est frappant. Le Bled Bricrenn y ajoute une précision importante, qui donne du sens à cet épisode, en faisant de l’épreuve subie par Cúchulainn une des conditions de la conquête du pouvoir (royal). À partir de là, de nombreux auteurs ont établi un prolongement entre Cúchulainn et Gauvain (cf. tout particulièrement Elisabeth Brewer, ed., From Cuchulainn to Gawain, D. S. Brewer, Cambridge, 1973).
Le « jeu du décapité » se retrouve dans plusieurs autres textes d’inspiration arthurienne : le Peredur, le Perlesvaus, la Première continuation de Perceval du pseudo-Wauchier, etc. Sans doute a-t-il aussi contribué à l’inspiration de la « légende dorée » de certains saints céphalophores, comme saint Denis, saint Jean ou saint Mitre. À son propos, divers faits religieux d’origine indo-européenne ont pu être évoqués. On a souligné que, dans le Mabinogi de Branwen, il est dit du dieu celtique Bran que, blessé au cours d’une bataille par une lance empoisonnée, il ordonna à ses soldats de lui couper la tête, d’emporter cette tête avec eux pour qu’elle continue de leur donner des ordres. Anada K. Coomaraswamy (1877-1947) a aussi rapproché le Festin de Bricriu de l’épopée indo-aryenne (cf. La doctrine du sacrifice, Dervy-Livres, 1978), notamment de l’épisode ou Indra décapite le Titan Namuci. Mais tout cela nous emmène assez loi de l’« homme vert » de la fête du Main. Au moins était-il important de montrer que derrière Jack in the Green et la « tête de feuilles », se profilaient d’étranges arrière-plans.
Extrait du livre Les Traditions d’Europe d’Alain de Benoist