Le dernier livre de Ernst Jünger, « Eumeswil », dont la couverture s’orne d’un pavé géant, tombe, précisément comme un pavé, au milieu du bavardage superficiel de la littérature contemporaine. Excellemment traduit par Henri Piard, « Eumeswil » marque le retour fracassant de « l’auteur du siècle ». L’analyse que nous publions ici est due à Armin Mohler, l’ancien secrétaire particulier de Jünger.
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