Le féminisme à l’épreuve du rap
Où sont les féministes pour s’indigner d’un rap, non pas simplement misogyne, mais ordurier et putassier – c’est le cas de le dire –, où les femmes ne sont plus que des objets, sex toys à part entière, tout juste bonnes à prendre et à jeter ? Aux abonnées absentes. Il y a là pourtant matière à soulever le cœur d’une Caroline De Haas, mais son silence, le sien et celui des féministes, est éloquent. Tentative d’explication.