Les « fausses vérités » occidentales
Frédéric Taddeï reçoit Jacques Baud dans son émission « Interdit d’interdire », ancien membre du renseignement suisse pour son livre « Gouverner par les fake news », chez Max Milo.
Frédéric Taddeï reçoit Jacques Baud dans son émission « Interdit d’interdire », ancien membre du renseignement suisse pour son livre « Gouverner par les fake news », chez Max Milo.
Les États-Unis sont depuis leurs origines confrontés à une question raciale qu’ils n’ont jamais su résoudre. Rappelons-nous qu’en 1945, c’est une Amérique ségrégationniste qui a emporté la victoire sur le racisme hitlérien ! Quant à la violence policière, effectivement courante aux États-Unis, elle est sans commune mesure avec ce que l’on peut voir en France. J’ajoute que chez nous, quand il y a brutalités policières, elles s’exercent sans complexe sur les « Gaulois » (yeux crevés, bras arrachés, blessures de guerre), comme on l’a vu à l’époque des gilets jaunes, beaucoup plus que contre les racailles et les migrants.
La catastrophe qui a frappé Beyrouth est inscrite dans la trame même de la mondialisation. Pourquoi ? L’économiste Guillaume Travers nous l’explique dans la dernière livraison d’Éléments au terme d’une enquête-fleuve et magistrale sur ceux qu’il appelle les « sans-papiers milliardaires de la mondialisation », à savoir les porte-conteneurs (près de 95 % des échanges marchands). Voilà les vrais réacteurs du commerce mondial. Sans eux, pas de mondialisation des échanges. Or, ils échappent à tout contrôle : en termes de droit du travail, de normes, environnementales ou pas, d’assurance. Ce sont les passagers clandestins du commerce international : ils ne payent pas le vrai prix du billet. C’est nous qui le payons à leur place. La preuve sanglante par Beyrouth !
Chaque 4 août depuis vingt-cinq ans, la Croatie célèbre l’expulsion des Serbes de la Krajina. L’occasion de refourbir un bric-à-brac nazi qui serait interdit et confisqué dans n’importe quel pays à l’ouest de Vienne.
Alain de Benoist : « Rappelons aussi que la souveraineté et l’identité ne vont pas nécessairement de pair. Une nation ayant perdu son identité peut très bien être souveraine, un pays doté d’une identité forte peut ne pas l’être du tout. Il est évidemment souhaitable que l’une et l’autre aillent de pair (la souveraineté garantissant alors le maintien de l’identité), mais cela n’a rien d’automatique. »
NICOLAS GAUTHIER. Au cours de ces dernières semaines, nous avons assisté au second tour des élections municipales, puis à la mise en place d’un nouveau gouvernement. Peut-on dire qu’il en résulte un nouveau paysage politique ? Les forces en
S’il y a un économiste et un sociologue du XXe siècle à découvrir ou à redécouvrir, c’est bien Werner Sombart (1863-1941). Son chef-d’œuvre, Le capitalisme moderne, n’a pas encore été traduit. En attendant, on peut lire Comment le capitalisme uniformise le monde ? présenté par Guillaume Travers aux éditions de la Nouvelle Librairie.
Aujourd’hui, plus de 4000 exploitations agricoles urbaines produisent 1,5 millions de tonnes de légumes, sans pesticides ni engrais chimiques. Au début des années 1990, lors l’effondrement de l’Union soviétique, Cuba perd brutalement son principal fournisseur de pesticides. Pour éviter la famine, Cuba n’a d’autre choix que de développer des alternatives naturelles réduisant quasiment à zéro le recours aux produits chimiques.
À chaque fois que Christiane Taubira se pique de poésie, c’est tout le camp du progrès qui se pâme. Les précieuses ridicules applaudissent. Trissotin dissèque. Sa dernière saillie en date : sa défense du clan Traoré.
Sous-titré Un temps de renouveau pour l’Europe, le dernier opus de Guillaume Travers, publié aux Éditions de la Nouvelle Librairie dans la collection « Longue Mémoire » de l’Institut Iliade qu’il supervise, mérite tous nos éloges. L’auteur, docteur en économie, spécialiste des marchés financiers et des politiques monétaires, enseignant dans une grande école de commerce, collaborateur de la revue Éléments, s’était déjà fait remarquer par son ouvrage Pourquoi tant d’inégalités ?, « cinglante réfutation » (dixit François Bousquet, son éditeur) des thèses « inégalitaristes » de Thomas Piketty, très en vogue chez les mondialistes libéraux-libertaires de la rive gauche.
« Je n’y crois pas ! » s’exclament parfois les adolescents pour marquer leur stupeur. Le spectacle qu’offrent depuis quelques années les employés du système politique et médiatique, les hommes et les femmes que ce système recrute et promeut, me donne régulièrement l’envie de crier moi aussi : « Je n’y crois pas ! »
Nous reproduisons l’excellente critique de Michel Geoffroy du site Polemia, à propos du livre de notre rédacteur Guillaume Travers, Économie médiévale et société féodale.
Découvrez nos formules d’abonnement
• 2 ans • 12 N° • 79€
• 1 an • 6 N° • 42€
• Durée libre • 6,90€ /2 mois
• Soutien • 12 N° •150€