Priez pour elles avec Michel Audiard !
Le Cherche Midi a eu la bonne idée de rééditer dans sa nouvelle collection « Borderline » un texte de Michel Audiard publié la première fois en 1968 et jamais republié depuis : « Le Terminus des prétentieux ».
Le Cherche Midi a eu la bonne idée de rééditer dans sa nouvelle collection « Borderline » un texte de Michel Audiard publié la première fois en 1968 et jamais republié depuis : « Le Terminus des prétentieux ».
Jean-Pierre Montal a su en quelques romans s’imposer comme un auteur qui compte, par son style fin, les décors et ambiances qu’il sait installer. « Leur Chamade », son quatrième roman, est publié par les élégantes éditions Séguier.
Le Landerneau médiatique est sens dessus dessous depuis la nomination de Geoffroy Lejeune à la tête du « Journal du dimanche ». L’empire du mal – celui de Bolloré – étend son emprise sur des médias centraux pourtant largement acquis au gauchisme culturel. « In-ac-cep-ta-ble », rétorquent les sociétés de journalistes avec l’unanimité troublante de la pensée unique. Le 24 juin, Reporters sans frontières a organisé l’une de ces soirées typiquement parisiennes dites « de résistance » qui ressemblent à un cocktail mondain. Enquête au cœur de l’entre-soi journalistique avec les reporters de l’école de journalisme d’« Éléments » (promotion 2023), réalisée en partenariat avec l’OJIM, l’Observatoire du journalisme. À la manœuvre, nos deux Routetabille : Romain Sens et Julien Destrago.
Dans le renouveau du roman français, une voix compte de plus en plus : celle d’Alexis Legayet. Son dernier né, Bienvenue au paradis, aux Éditions Æthalides, explore les folies du véganisme dans une veine à la Huxley, mais avec un humour désopilant et une fantaisie d’autant plus inquiétante qu’elle colle à la réalité.
L’Union européenne fonctionne en mode orwellien. Quand elle est pour la liberté, elle est en même temps contre. C’est ce que l’auteur de « 1984 » appelle la double pensée. Dans son « Acte européen pour les médias », l’UE a déjà prévu de placer les journalistes sous surveillance quand les enjeux de « sécurité nationale » l’exigeront, autrement dit quand l’arbitraire du Prince et de ses ministres en décidera. Pour en débattre, Nicolas Vidal reçoit dans Ligne droite François Bousquet et Xavier Azalbert, directeur de « France Soir ».
Il y a un malentendu sur l’œuvre d’art total à laquelle aspirait Wagner. Plus qu’une synthèse des arts, c’est une tentative socialiste, ce qu’était le compositeur (on l’oublie trop souvent), qui vise l’union du peuple créateur et de l’artiste. Bon pied, bon œil et plus encore bonne oreille, Georges Liébert – éditeur, essayiste, traducteur et producteur de radio – confie à Olivier François sa passion pour Wagner et retrace l’aventure que fut le wagnérisme français. Un film de Christophe Lafosse.
La Russie est un monde en soi, culturel, politique, géopolitique, religieux. Plus d’un dixième des terres émergées, aujourd’hui recouvertes d’une gangue de propagande. Il ne fallait pas moins de 132 pages pour remettre la Russie à l’endroit. Retrouvez-les dans le deuxième hors-série d’Éléments. À l’occasion de sa sortie en kiosque, l’Ojim, l’Observatoire du journalisme animé par Claude Chollet, a interrogé François Bousquet. La parole à La Défense.
Tout le monde déteste Libération ! En une semaine, David L’épée a réuni la somme nécessaire pour contre-attaquer avec l’aide d’un avocat et en finir avec les méthodes d’intimidation de Nicolas Massol, Maxime Macé et Pierre Plottu. Il témoigne.
Pourquoi les années 70 nous fascinent-elles tant ? Sur fond de guerre froide, cette ère de liberté sexuelle a fait germer toutes les déconstructions dont nous goûtons aujourd’hui les fruits rancis. Au cours de cette saison terroriste, dans l’Italie comme dans l’Allemagne post-68, les militants de rue jouissaient sans temps mort… et frappaient sans entraves. Il faut voir ou revoir le film de Carlo Lizzani, « San Babila, un crime inutile », pour en retrouver l’ambiance.
La revue Krisis consacre son numéro 55 au thème très actuel de la déconstruction. Une livraison riche qui explore tous les enjeux qui découlent de l’arsenal idéologique de la déconstruction et du wokisme. La parole à David L’Épée, rédacteur en chef de la revue.
Suivez les aventures « révolutionnaires » de Francis, accidentellement plongé dans une manifestation « sauvage », où notre jeune homme se prend pour un black bloc. Une improvisation qui finit mal et une saynète rondement menée – par l’auteur d’Une fin du monde sans importance.
Le baroque ? On a pris l’habitude de le confiner – terme à la mode – à l’architecture et à la musique, quelque part entre le milieu du XVIe siècle et le milieu du XVIIIe siècle. Comme si le baroque n’était qu’un chic daté. Le baroque est un état d’esprit et une école de la vie à la sève débordante. Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade (promotion Léonidas), en livre une définition toute personnelle qui ne manquera pas de faire débat. Les céliniens et les bloyens y côtoient les lecteurs de Leibniz et de Pierre Boutang.
Découvrez nos formules d’abonnement
• 2 ans • 12 N° • 79€
• 1 an • 6 N° • 42€
• Durée libre • 6,90€ /2 mois
• Soutien • 12 N° •150€