
La liste Birenbaum d’intimidation
Devant l’absence de réactions de soutien à un libraire parisien victime d’une honteuse manipulation, le rédacteur en chef d’Eléments, Pascal Eysseric dénonce les méthodes de Guy Birenbaum, «épicier» dans les médias.
Devant l’absence de réactions de soutien à un libraire parisien victime d’une honteuse manipulation, le rédacteur en chef d’Eléments, Pascal Eysseric dénonce les méthodes de Guy Birenbaum, «épicier» dans les médias.
Ludovic Maubreuil, critique cinéma d’Éléments a vu « Welcome to New York », d’Abel Ferrara inspiré de l’affaire DSK. Un grand film avec un Gérard Depardieu époustouflant, qui trouve là, avec le Serge Pilardosse de « Mammuth, son plus grand rôle depuis quinze ans.
À l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, le Musée des Lettres et Manuscrits présente l’exposition « Entre les lignes et les tranchées – Lettres, carnets et photographies – 1914-1918 ». Plus de 100 documents exceptionnels, dont un grand nombre d’inédits, seront dévoilés afin de révéler aux visiteurs les véritables clés de la Grande Guerre. Paru dans la revue Les Annales du 25 mars 1917, l’entretien de ce banquier américain, qui avait tenu à l’époque à rester anonyme, revient sur les causes de la guerre. Un témoignage terrifiant de cynisme, mais ce document est-il un vrai ?
Pas une semaine ne s’écoule sans que cette détestable méthode inventée par Bernard-Henri Lévy ne soit reprise par un arriviste pour éliminer un concurrent. Il est vrai que depuis trente ans, la méthode béhachélienne d’intimidation comme moyen de promotion a fait ses preuves.
Dans L’histoire secrète du SOS Racisme, Serge Malik rappelle que l’insoupçonnable Pierre Desproges a refusé de prendre sa carte à SOS Racisme parce qu’il n’y avait que des juifs et des socialistes !
On a envie de rétorquer à Christian Araud que c’est justement une grande partie du problème : Alain de Benoist n’a pas de limites dans ses mauvaises fréquentations.» Vincent Cheynet, lui, n’a pas de limite à la bêtise…
Pauvres « grands intellos » de gauche ainsi récupérés pour les méchants neo-droitistes! Oui, nous les avons « annexés », oui nous les avons lus, oui nous les avons commentés comme il est de coutume dans une revue d’idées (Éléments est une des plus anciennes de France d’ailleurs).
À l’occasion des vingt ans de sa mort, le 28 janvier prochain, le nom du fondateur du « Figaro Magazine » est étroitement associé à celui de la Nouvelle Droite. Il en a été son propagandiste et son bourreau. Jean-Claude Valla avait livré son témoignage pour le site Polemia, en ne cachant ni les faiblesses ni les élans de courage d’un homme complexe.
«Au temps béni des colonies … » : le titre gouailleur d’une chanson populaire sur l’Afrique de grand-papa, ses petits plaisirs et ses petites bassesses. Il résume assez bien le dernier roman de Jean Cau : 220 pages de rêve, d’aventure et de nostalgie, qui font danser la poussière du grenier national sous un curieux soleil tropicalo-patriotique. À lire au premier comme au deuxième et au troisième degré. Le temps de la culpabilisation est passé. Le moment d’examiner, sans fausse pudeur l’aventure coloniale est peut-être venu.
Dieux du ciel et dieux de la terre, puissances ouraniennes et puissances chtoniennes, unis en un même panthéon par les conquérants indo-européens qui ont fondé la culture et la civilisation grecques, c’est en invoquant vos noms que nous avons, à quelques-uns, couru sur le stade d’Olympie -vous adressant ainsi la seule prière digne de vous. Car c’est avec le sentiment de faire un pèlerinage aux sources de la culture européenne qu’une trentaine de membres du G.R.E.C.E. ont parcouru, en août 79, l’Attique, le Péloponèse et les Cyclades. Poignant retour au berceau de notre monde : un Européen digne de ce nom ne peut que verser des larmes d’émotion en mettant pour la première fois le pied sur l’Acropole.
Cela fait une demi-douzaine d’années que j’évoquais dans « Éléments » ce qui était alors le dernier roman de Jean Raspail : « La hache des steppes ». Fort heureusement, ce n’était pas le dernier… Et voici que se confirme le talent d’un écrivain qui a trouvé vers la cinquantaine un second souffle, qui le place désormais parmi les meilleurs romanciers de notre temps.
Frédéric II de Hohenstaufen, une figure hautaine et fascinante, une certaine conception de l’Empire, une vision du monde qui demeure exemplaire. Et un destin qui ne cesse d’inviter à la rêverie. La légende dit qu’il reviendra un jour.