
L’art n’a pas dit son dernier mot. « Les Perséides » de Jean-Paul Marcheschi
Les lecteurs de Renaud Camus connaissent son œuvre, qui ressemble à un incendie stellaire ou à une cartographie calcinée. Nous voulons parler de Jean-Paul Marcheschi, né en 1951, à Bastia. Depuis quarante ans, l’artiste, le peintre Marcheschi a abandonné le pinceau pour le feu – et parfois pour la plume, quand, à l’occasion, il se fait critique d’art et historien de la beauté. Nicolas Lévine vient de lire son autobiographie, « Les Perséides », aux éditions Les Impressions Nouvelles. Il nous en livre la critique enthousiaste.