
« Moi, Yann Barthès, auxiliaire de justice à Nuremberg ». La nazification au Quotidien
Avez-vous déjà giflé un mort, lançait le jeune Aragon ? À quoi bon ! Mieux vaut gifler la morgue des cons. Celle de Yann Barthès, petit marquis poudré, est inépuisable. Il en est tout bouffi, confit, farci. Du haut de son mètre 68, il passe son temps à se hausser du col pour tutoyer les grands, qu’il rabaisse à son niveau – le caniveau. Le nabot joue au cabot, un classique de la physionomie des attitudes.