Christine Angot, toujours aussi nulle, couronnée du Prix Médicis
Christine Angot, qui nous sert en boucle depuis trente ans la même histoire d’inceste, est de nouveau récompensée d’un prix qu’on n’ose à peine qualifier de littéraire : le Prix Médicis (ah, on est loin de Laurent le Magnifique). Tous les membres du jury ne sont pas à jeter dans les poubelles de l’histoire littéraire, mais concédons qu’entre Marie Darrieussecq, qui s’est fait connaître en se transformant en truie (Truismes, 1996), et l’intouchable Frédéric Mitterrand, la Barbara Cartland du tourisme sexuel, on est servi. Au fond, les mêmes récompensent les mêmes dans l’entre-soi, l’endogamie culturelle et l’entreculage. Vive la conconsanguinité, quoi ! Nous publions ici un extrait de l’article que François Bousquet a consacré dans le dernier numéro d’« Éléments » au « Voyage dans l’Est » (Flammarion), le « roman » qui a reçu le Médicis ».