
Des « marcheurs » chez les culs-terreux
Des journaux de confinement, il en a pullulé en 2020 et 2021, lorsque la « dictature sanitaire » battait son plein. De Leïla Slimani à Marie Darrieussecq, les dindes exilées à la campagne nous ont abreuvés de leurs états d’âme de bobos privilégiées. Richard de Seze a préféré la parodie au pathos, et a écrit un faux journal de confinement racontant les mésaventures d’un couple de parisiens et de leurs deux enfants exilés dans un milieu hostile et traditionnel : la campagne française.













