Thomas Hennetier recevait Rémi Soulié, philosophe, écrivain pour son livre « Frédéric Mistral » dans la collection Longue Mémoire aux éditions de la Nouvelle Librairie et Arnaud Guyot-Jeannin, journaliste, écrivain pour son livre « La Tradition sans complexe: Abécédaire et textes de l’Antimodernité » aux éditions de la Nouvelle Librairie.
Irrécupérable, Georges Sorel (1847-1922) ? Lui qui fut le plus inclassable des penseurs politiques, à la croisée de Marx et de Proudhon, de Nietzsche et de Bergson, mais aussi des Anciens et des grands moralistes. Pour en débattre, Rémi Soulié reçoit dans « Les idées à l’endroit » (TV Libertés) Rodolphe Cart, qui vient de signer un « Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur », avec Olivier Dard, historien des idées politiques, professeur à la Sorbonne, et Pierre Le Vigan, urbaniste, essayiste et philosophe.
Chaque mercredi, « Éléments », avec François Bousquet, est partenaire de Ligne droite, la matinale de Baudouin Wisselmann, sur Radio Courtoisie. Aujourd’hui, ils reçoivent Olivia Sarton, juriste et directrice scientifique de Juristes pour l’enfance. Elle a codirigé, avec Claire de Gatellier, « Violences sexuelles entre mineurs. Agir, prévenir, guérir… Les spécialistes répondent », aux éditions Artège. C’est un sujet jusque-là passé sous les écrans radars. Ces violences inter-mineurs ont pourtant explosé ces dernières années : + 59,7 % entre 2016 et 2021, selon un rapport du Sénat. Pornographie en libre accès, hypersexualisation des corps adolescents, marché du désir, propagande LGBT… Olivia Sarton fait le tour de la question.
En matière d’immigration, les choses vont toujours de mal en pis. Il y a là comme une loi de Murphy qui se vérifie à tous les coups : « Tout ce qui est susceptible d’aller mal ira mal. » Quand « Éléments » a consacré un numéro complet, en 1993, à l’immigration, le désastre n’était pas aussi complet. Retour sur 30 ans de politique migratoire avec Patrick Lusinchi, directeur artistique, François Bousquet, rédacteur en chef, Olivier François, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart.
Chaque mercredi, « Éléments », avec François Bousquet, est partenaire de Ligne droite, la matinale de Baudouin Wisselmann, sur Radio Courtoisie. Aujourd’hui, ils reçoivent Frédéric Rouvillois qui publie « Le gouvernement des juges » (Desclée de Brouwer). Pourquoi le politique a-t-il laissé prospérer ces magistrats – Conseil constitutionnel, Conseil d’État, Cour européenne des droits de l’homme – qui contrôlent en dernier ressort nos lois, se substituant peu à peu à la souveraineté des peuples ?
Chaque mercredi, « Éléments », avec François Bousquet, est partenaire de Ligne droite, la matinale de Baudouin Wisselmann, sur Radio Courtoisie. Aujourd’hui, ils reçoivent Charles de Meyer, auteur de « Pourquoi me persécutes-tu ? Chroniques d’un Orient martyr », aux éditions de la Nouvelle Librairie, où ce dernier analyse les basculements à l’œuvre au Proche-Orient, notamment le rapprochement entre Ryad et Téhéran, et évoque l’aventure de SOS Chrétiens d’Orient, l’association humanitaire qu’il préside. Dix ans de présence sur le terrain, 2013-2023.
Vous la connaissez : elle a fait ses armes avec André Bercoff, elle a lancé « Ligne droite » la matinale de Radio Courtoisie. Aujourd’hui, elle crée « Tocsin Média », en ligne à partir du lundi 4 septembre. Ce sera le média des gens ordinaires, qui constituent le pays majoritaire et qui n’en sont pas moins oubliés. Le relai transmetteur de celles et ceux qui n’ont jamais voix au chapitre, sinon à la rubrique « indifférence et condescendance ». Bref, la voix des sans-voix, par-delà les clivages partisans. En faisant le choix du rassemblement, de la souveraineté retrouvée, de la démocratie directe. Autour de Clémence Houdiakova, retrouvez Jean-Louis Tremblais du « Figaro Magazine », Nicolas Vidal, Rémi Tell, Didier Maïsto, François Bousquet et beaucoup d’autres. Soutenez d’ores et déjà « Tocsin Média ».
Avez-vous remarqué combien les émeutes ont cessé aussi subitement qu’elles avaient commencé ? Comme on s’en doute, les médias centraux se sont empressés de passer à une autre « séquence » médiatique, selon le jargon en vigueur. Circulez, y’a rien à voir ! Jean Baudrillard se demandait si la guerre du Golfe avait eu lieu, la première, celle des années 1990-1991. La question se pose pour les émeutes. Qui en parle aujourd’hui ? Autour d’Olivier François, la rédaction d’« Éléments » rouvre le débat sur TV Libertés. Avec François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart
Pourquoi la France ? C’est la question que notre magazine lançait en 1981 dans un numéro consacré à la singularité française. Cette question est plus que jamais à l’ordre du jour. Tant il est évident que notre pays n’est pas en forme, assailli par quantité d’agents pathogènes, wokisme, indigénisme, immigration hostile, appauvrissement, déclassement… L’occasion pour la rédaction d’« Éléments » d’interroger le propre de la France et des Français dans le cadre de « Cette année-là » sur TV Libertés. Oui, qui sommes-nous, nous autres Français ?
Jean-Luc Mélenchon se lève tous les jours du pied gauche. C’est sûrement la raison pour laquelle il passe son temps à insulter tout ce qui est à sa droite. Pas dit que ce soit la bonne méthode, mais c’est la sienne, pour reconstruire « sa » France, celle de Nahel et d’Adama Traoré, à coups de mortier. Mais nul ne sait si c’est du mortier de scellement ou d’artifice.
Penseur inclassable, Georges Sorel (1847-1922) est le grand théoricien du mythe mobilisateur, mais lui-même, auteur des indispensables « Réflexions sur la violence », est devenu une figure quasi mythique. Notre collaborateur Rodolphe Cart vient de lui consacrer un essai roboratif, paru aux éditions de La Nouvelle Librairie, « Georges Sorel, Le révolutionnaire conservateur ». Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, le reçoit pour évoquer cette figure inclassable, à la croisée de la gauche et de la droite. À redécouvrir en ces temps de violence.
Jusqu’ici tout allait bien, comme dans le film « La Haine », du moins faisait-on semblant de le croire. Des banlieues assagies. Mais l’envers du décor, c’est l’enfer du décor. Le trop-plein migratoire vient de nous sauter au visage. L’ennemi, c’est nous autres Français.
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