TV Libertés reçoit Alain de Benoist pour la sortie de Nous et les autres. L’identité sans fantasmes. L’occasion d’interroger non pas seulement l’identité, mais le métissage, les races, la différenciation et l’indifférenciation, la théorie du genre et les délires wokistes. Bref, les idées à l’endroit et les pieds dans le plat.
On connaît les deux premiers, moins le troisième. Philosophe et journaliste, Italien de naissance et Européen de cœur, Giorgio Locchi gagne à être connu. La Nouvelle Librairie et l’Institut Iliade viennent de mettre à la portée du public francophone deux de ses livres majeurs, « Définitions » et « Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste », publiés sous la houlette d’Antoine Dresse, alias Ego Non – qui nous les présente (les livres et leur auteur) sur TV Libertés au micro de Rémi Soulié.
L’Amérique et l’OTAN devaient mettre à genoux l’économie russe, elle se redresse. En ira-t-il de même de la guerre ? On commence à s’en alarmer dans les chancelleries occidentales.
L’identité ! Tout le monde en parle, mais sans parvenir à lui donner une définition qui fasse consensus. C’est tout l’objet du nouveau livre d’Alain de Benoist, Nous et les autres. L’identité sans fantasmes. Il s’en explique dans Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie.
Dénudées ou voilées, ces influenceuses, ex-starlettes de la télé-réalité converties à l’islam, cumulent des millions d’abonnés et dictent les comportements à une jeunesse zombie.
Nicolas Vidal, fondateur de « Putsch Media », recevait François Bousquet pour une conversation à bâtons rompus sur l’effondrement industriel de la France et le déclassement du monde ouvrier, singulièrement du monde ouvrier blanc, parent pauvre des politiques de reconnaissance. Comment – et pourquoi – la part de l’industrie en France est passé de 24 % du PIB au début des années 1980 à 10 % ? Quel rôle nos élites ont-elles joué dans cette débâcle industrielle ?
Faut-il raser La Citadelle des patriotes à Lille ? Martine Aubry le voudrait bien, quitte à piétiner les libertés publiques et à ruiner son président, Aurélien Verhassel.
Trouvère et troubadour, poète et philosophe, conteur et écrivain, Rémi Soulié n’en finit pas de nous enchanter, depuis « Racination » jusqu’à « L’Éther », depuis « Les métamorphoses d’Hermès » jusqu’aux « Âges d’Orphée ». Il se confie au micro d’Alexandre Nantas dans un « Orages de papier » particulièrement réussi, tourné à la Nouvelle Librairie, où il ressuscite son Rouergue natal, la Provence de Mistral, la Tradition primordiale et le souffle du même nom.
Sous la houlette de Patrick Lusinchi, la rédaction d’Éléments décortique un phénomène largement occulté : le déclassement des catégories populaires blanches, en France, en Angleterre, aux États-Unis. En tant que pauvres, elles n’intéressent pas la droite ; en tant que blanches, elles n’intéressent pas la gauche. Retrouvez ce débat dans « Cette année-là », le rendez-vous bimestriel de la rédaction d’Éléments sur TV Libertés.
La France, pays de la galanterie ? Du moins notre pays peut-il se prévaloir d’une longue familiarité avec les choses de l’amour, depuis le « fin’amor ». Mais au fil des siècles, cette conception a largement évolué. Demeurent néanmoins deux tendances de fond : le rôle central de la séduction et l’exaltation de la différence des sexes. David L’Épée s’en explique au micro de Philippe Mesnard, qui dirige le « Libre Journal de la réaction » sur les ondes de Radio Courtoisie.
« Les villes devraient être construites à la campagne, blaguait Alphonse Allais, l’air y est tellement plus pur. » On n’en est certes pas là, mais à défaut de s’installer à la campagne, les bobos des centres-villes veulent dicter leur agenda végan, antispéciste, anti-chasse, anti-traditions, à la ruralité. Pour en débattre, Nicolas Vidal a invité dans la matinale de Radio Courtoisie, « Ligne droite », notre collaborateur Rodolphe Cart.
Léon Daudet (1867-1942), c’est une force de la nature – un géant rabelaisien à l’appétit tout-puissant : polémiste et tribun, mémorialiste et historien, romancier et essayiste. Son nom reste associé à l’école d’Action française et à une fidélité indéfectible à Charles Maurras, mais son œuvre est un continent à part. Notre collaborateur Olivier François la présente dans le cadre des « Jeudis de l’Iliade », à la Nouvelle Librairie.
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