Thomas Hennetier recevait dans le Libre journal de la Nouvelle Droite Alain de Benoist à l’occasion de la sortie de Nous et les autres (Le Rocher) et Rodolphe Cart qui s’apprête à publier un Georges Sorel. Le révolutionnaire conservateur (La Nouvelle Librairie). Regards croisés sur l’identité, la violence et le mythe politique.

Thomas Hennetier, assisté par Rodolphe Cart, reçoit dans le Libre journal de la Nouvelle Droite Frédéric Rouvillois qui vient de signer un très remarqué (et remarquable) « Le gouvernement des juges. Histoire d’un mythe politique » (Desclée De Brouwer) et Yann Caspar qui publie aux éditions de la Nouvelle Librairie un roboratif « Edward Bernays, l’homme qui murmurait à l’oreille des foules ». Deux mises en perspective.

Esprit inclassable, touche-à-tout, à mi-chemin de la philosophie et du journalisme de haut vol, Giorgio Locchi (1923-1992) reste un inconnu dont on murmure le nom comme un mot de passe. C’est pour réparer cet oubli que l’Institut Iliade et la Nouvelle Librairie ont publié conjointement deux de ses livres : «Définitions» et «Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste». Le «Libre journal de la Nouvelle Droite» ne pouvait l’ignorer. Pour évoquer cette figure qui a inspiré les premières orientations de la Nouvelle Droite, Thomas Hennetier, assisté de Rodolphe Cart, reçoit Antoine Dresse, philosophe et écrivain, qui dirige les collections de l’Institut Iliade à la Nouvelle Librairie. Au menu du jour : le livre de Thierry Decruzy, «Démondialiser la musique. Une réponse au naufrage musical européen» (La Nouvelle Librairie/Institut Iliade).

Dans le cadre du Libre journal de la Nouvelle Droite, Thomas Hennetier reçoit Guillaume Travers, Rodolphe Cart et Édouard Chanot. À l’ordre du jour : le dernier numéro d’« Éléments », autour de la notion de « communs » développée par Guillaume Travers ; et notre dossier consacré au phénomène des influenceurs et des youtubeurs, sous la houlette de Rodolphe Cart. Également au programme : « L’Empire Netflix. L’Emprise du divertissement », un essai d’Édouard Chanot paru à la Nouvelle Librairie.

Thomas Hennetier reçoit dans son libre journal de la Nouvelle Droite Émeric Cian-Grangé, célinien hyperactif, à l’occasion de la sortie de « 90 ans de Voyage. Céline et nous » (La Nouvelle Librairie), un ouvrage collectif qu’il a dirigé. Avec lui, d’autres indéfectibles céliniens : Alain de Benoist et Michel Marmin, Thomas Desmond et Christian Durante. Journalistes, écrivains, éditeurs, poètes, critiques — et même un graphiste. Louis-Ferdinand touche tous les publics.

Dans son Libre Journal de la Nouvelle Droite du 18 octobre 2022, Thomas Hennetier interrogeait Laurent Dandrieu, auteur de Rome ou Babel (Artège), sur la possibilité d’un christianisme enraciné, puis évoquait la figure de Tolkien en compagnie

Dans son Libre Journal de la Nouvelle Droite sur Radio Courtoisie, Thomas Hennetier recevait Denis Collin, auteur de Malaise dans la science (Krisis) ainsi que Thomas Clavel, romancier, auteur du Jardin des femmes perdues (La Nouvelle Librairie).

Pour la rentrée du Libre Journal de la Nouvelle Droite, Thomas Hennetier recevait Thomas Renaud, auteur d’Orwell dans la collection Qui suis-je ? (Pardès), ainsi qu’Alain de Benoist, qui présentait le nouveau numéro de la revue Krisis

Dans le cadre du Libre journal de la Nouvelle Droite, Thomas Hennetier recevait Emeric Cian-Grangé, directeur de la collection « Du côté de Céline » aux éditions La Nouvelle Librairie, Pascal Eysseric, directeur de la rédaction de la Revue

Le 31 mai 2022, dans le cadre du libre journal de la Nouvelle droite Thomas Hennetier recevait le philosophe Rémi Soulié pour ses deux livres L’Éther et Les âges d’Orphée et l’économiste Guillaume Travers pour son « Qui

Thomas Hennetier recevait le 8 mars 2022 dans le cadre du Journal de la Nouvelle Droite, Alain de Benoist pour son livre L’éclipse du sacré et Claude Chollet, président de l’Observatoire du journalisme (Ojim) pour son livre

Dans ce Libre journal de la Nouvelle Droite sur Radio Courtoisie, Thomas Hennetier recevait Guillaume Travers, économiste, pour qui la société de surveillance est le stade ultime du libéralisme, ainsi que David L’Épée, rédacteur en chef de