Au revoir, Costanzo !
Depuis 2006, il était membre du comité éditorial de la revue Krisis d’Alain de Benoist. Après 1999, la fécondité de Costanzo Preve fut extraordinaire : mentionnons seulement, pour la seule année 2006, avec l’Eloge du communautarisme, que j’ai traduit et présenté, Il popolo al potere.