Suite à la réaction de Jean Montalte au livre de Rodolphe Cart, « Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires » (La Nouvelle Librairie), ce dernier a décidé de ramasser le gant pour s’expliquer. La parole est à la défense.
Pour ce premier numéro de l’année, Bistro Libertés se transforme en forum du souverainisme, accueillant des représentants des diverses tendances de « l’anti-mondialisme français », de Florian Philippot à Jean-Frédéric Poisson, en passant par Stanislas Rigault, Greg Tabibian, Pierre-Yves Rougeyron et notre collaborateur Rodolphe Cart. Malgré leur attachement commun à la nation et à son indépendance, la proximité n’est pas l’uniformité et le débat se révèle particulièrement animé et passionné, notamment sur la question des stratégies électorales à adopter, des candidats à soutenir ou des exemples étrangers à suivre.
Dans ce nouveau numéro de « Ligne Droite », la matinale de Radio Courtoisie présentée par Corentin Perrigny, en collaboration avec François Bousquet, Rodolphe Cart, collaborateur de la revue Éléments, évoque son ouvrage Feu sur la droite nationale, réponse à Daniel Conversano et aux Identitaires. Dans celui-ci, il défend sa vision d’un souverainisme social et populaire qu’il oppose à ce qu’il considère comme étant les dérives occidentalistes et racialistes d’une partie de la mouvance « identitaire ». Sans nier aucunement l’importance des questions démographiques et ethnoculturelles, il invite néanmoins ses lecteurs à ne pas les essentialiser mais à les intégrer à un corpus plus large s’appuyant notamment sur la décence commune et la justice sociale.
En politique étrangère, longtemps la posture française fut celle du non-alignement et du pragmatisme, dicté par un souci d’indépendance nationale. Ces dernières années, le brouhaha médiatique et les décisions politiques tranchent avec cette tradition. Le point avec Rodolphe Cart, qui vient de sortir aux éditions de la Nouvelle Librairie Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires.
Contre vents et marrées, l’état-major de la France insoumise (LFI) refuse de qualifier le Hamas d’organisation terroriste. Beaucoup affirment que le franchissement de cette « ligne rouge » annonce la fin prochaine du mouvement de Jean-Luc Mélenchon. Qu’en est-il réellement ? L’analyse de Rodolphe Cart.
Au travail, en voiture ou même chez soi, de plus en plus de personnes se tournent vers le podcast comme moyen d’information ou d’écoute de loisir. Le podcast connaît un tel succès qu’il suscite, chaque jour, un investissement croissant de la part des géants du numérique. Au milieu d’une offre pléthorique et d’un marché en constante progression, une toute jeune structure vient de se lancer : IdeoChoc. Contre le dogme médiatique et la propagande politique des grandes plateformes, IdeoChoc dénote par la radicalité et l’exigence intellectuelle des œuvres que son catalogue propose. Le responsable d’IdeoChoc, Jeremy Baneton, répond à nos questions.
Il était temps d’exhumer Georges Sorel (1847-1922). Pour quiconque cherche à comprendre ce qu’a été le syndicalisme révolutionnaire à l’aube du XXe siècle, le mouvement ouvrier, la découverte de Marx, la redécouverte de Proudhon, les puissances du mythe et de la violence, Sorel est un passage obligé. Dans son essai « Georges Sorel. Le révolutionnaire conservateur », Rodolphe Cart. Merci à Eurolibertés de nous autoriser à reproduire l’entretien que Rodolphe Cart a donné à Lionel Baland.
Penseur inclassable, Georges Sorel (1847-1922) est le grand théoricien du mythe mobilisateur, mais lui-même, auteur des indispensables « Réflexions sur la violence », est devenu une figure quasi mythique. Notre collaborateur Rodolphe Cart vient de lui consacrer un essai roboratif, paru aux éditions de La Nouvelle Librairie, « Georges Sorel, Le révolutionnaire conservateur ». Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, le reçoit pour évoquer cette figure inclassable, à la croisée de la gauche et de la droite. À redécouvrir en ces temps de violence.
Après des nuits de chaos, de pillages et d’incendies, la grande majorité de la gauche (partis, syndicats, personnalités) fait la sourde oreille et refuse de condamner les débordements. Pourtant, longtemps la tradition socialiste a tenu une ligne très dure sur le lumpenprolétariat.
Les néo-conservateurs ne sont pas morts avec la seconde guerre du Golfe, ils manœuvrent toujours, en coulisse et sur le devant de la scène. La guerre en Ukraine les a même remis en selle. C’est simple : ils sont partout. Nicolas Vidal reçoit notre collaborateur, Rodolphe Cart, dans « Ligne droite » sur Radio Courtoisie.
Cela fait plus d’un an que la majorité des médias de grand chemin ont fait le choix du soutien à l’Ukraine et du dénigrement de la Russie. Pourquoi les VRP de l’atlantisme ont-ils si facilement porte ouverte dans les médias français ?
Dans son dernier livre Beaufs et barbares. Le pari du nous, Houria Bouteldja propose la formation, contre le bloc bourgeois, d’un bloc inédit construit sur l’alliance des « petits Blancs » et des sujets postcoloniaux. Un pari pour le moins osé !
