Notre collaborateur Rodolphe Cart était l’invité de Pierre Bergerault pour le « Zoom » de TV Libertés afin de se pencher sur le « cas » Louis Sarkozy, le fils prodigue de retour de sa terre d’adoption et de cœur, les États-Unis, pour participer à la reconstruction et à la recomposition de la « droite républicaine » française.
Dans ce nouveau numéro de « Chocs du Monde », sur TV Libertés, Édouard Chanot reçoit Rodolphe Cart, essayiste et collaborateur de la revue « Éléments », pour évoquer la reprise du dialogue américano-russe ainsi que les perspectives de sortie de crise en Ukraine. Au sein de ce nouveau contexte diplomatique et géostratégique, quelle place pour l’Europe et pour la France à l’heure où Emmanuel Macron semble prêt à toutes les provocations jusqu’au-boutistes pour tenter de redorer un blason plus que terni sur le plan national ?
Chez Louis Sarkozy, il n’y a que le prénom qui est français. Tout le reste est américain, jusqu’au bout des ongles. Mais aucune chance de percer aux États-Unis – pas fous, les Américains. Alors, faute de mieux, il se rabat sur la France comme on s’accroche à une session de rattrapage. Après avoir clamé son attachement à l’Amérique, le voilà qui se découvre soudain des racines hexagonales. Une conversion opportune, mais qui peine à convaincre. Rodolphe Cart, toujours à l’affût des masques et des mirages, lui consacre un portrait décapant en forme d’essai, « De quoi Louis Sarkozy est-il le nom ? » (Perspectives libres), où il démonte les illusions d’un néo-conservatisme d’importation. Une mise au point en forme de mise en garde.
Si beaucoup pensaient Emmanuel Macron arrivé en bout de course, les enjeux internationaux lui ont indéniablement redonné un second souffle. Avec le même accent grave et martial qu’il a eu au temps du Covid-19 (le fameux « Nous sommes en guerre »), le président français, devant plus de quinze millions de téléspectateurs, a acté « la fin de l’innocence » face à la « menace russe ». Honni dans son pays mais applaudi par les chancelleries continentales, Macron prépare le terrain de ses futures ambitions européennes sur fond de conflit entre libéraux et nationalistes.
Notre collaborateur Rodolphe Cart a répondu aux question du média « Pustch » sur le courant de pensée « néo-conservateur » dont il évoque l’histoire et l’influence dans son dernier ouvrage publié aux éditions de la Nouvelle Librairie, « La menace néo-conservatrice ». Volonté de diriger le monde au nom de la « destinée messianique » des USA, lobbying agressif, impérialisme culturel et volonté de vassalisation de l’Europe, la stratégie «néo-conservatrice » conserve une importante capacité de nuisance même si Donald Trump semble, du moins dans ses discours, avoir partiellement rompu avec celle-ci.
Dans ce « grand entretien » du magazine Omerta, Charles d’Anjou reçoit Rodolphe Cart pour évoquer son dernier ouvrage « La menace néoconservatrice – Une France et une Europe sous influence » aux éditions La Nouvelle librairie. L’occasion de revenir sur la genèse et l’histoire de ce courant idéologique et ses conséquences sur l’Europe et la France, où ses relais et ses stipendiés organisent la soumission des intérêts nationaux à ceux de l’Oncle Sam.
Pour ce numéro de « Ligne Droite », sur Radio Courtoisie, Liselotte Dutreuil interroge Rodolphe Cart, essayiste et collaborateur de la revue Éléments, auteur de «La menace néo-conservatrice. Une France et une Europe sous influence » aux éditions de la Nouvelle Librairie. Ils débattent notamment des conséquences possibles de l’élection de Donald Trump et de l’influence que les néo-conservateurs peuvent avoir sur la nouvelle politique de Washington.
Notre collaborateur Rodolphe Cart était l’invité de « Ligne Droite », la matinale de Radio Courtoisie, à l’occasion de la sortie de son nouveau livre « Faire Légion » aux éditions Hétairie. Un ouvrage dans lequel il appelle à la fondation, par la jeunesse, d’un « nouveau nationalisme », refusant tout autant le passéisme que le fatalisme décliniste, afin de redonner à la France sa souveraineté, sa dignité et sa grandeur. Un objectif qui n’ira pas sans d’immenses efforts, ni de grands sacrifices, au service des générations futures.
Suite à la réaction de Jean Montalte au livre de Rodolphe Cart, « Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires » (La Nouvelle Librairie), ce dernier a décidé de ramasser le gant pour s’expliquer. La parole est à la défense.
Pour ce premier numéro de l’année, Bistro Libertés se transforme en forum du souverainisme, accueillant des représentants des diverses tendances de « l’anti-mondialisme français », de Florian Philippot à Jean-Frédéric Poisson, en passant par Stanislas Rigault, Greg Tabibian, Pierre-Yves Rougeyron et notre collaborateur Rodolphe Cart. Malgré leur attachement commun à la nation et à son indépendance, la proximité n’est pas l’uniformité et le débat se révèle particulièrement animé et passionné, notamment sur la question des stratégies électorales à adopter, des candidats à soutenir ou des exemples étrangers à suivre.
Dans ce nouveau numéro de « Ligne Droite », la matinale de Radio Courtoisie présentée par Corentin Perrigny, en collaboration avec François Bousquet, Rodolphe Cart, collaborateur de la revue Éléments, évoque son ouvrage Feu sur la droite nationale, réponse à Daniel Conversano et aux Identitaires. Dans celui-ci, il défend sa vision d’un souverainisme social et populaire qu’il oppose à ce qu’il considère comme étant les dérives occidentalistes et racialistes d’une partie de la mouvance « identitaire ». Sans nier aucunement l’importance des questions démographiques et ethnoculturelles, il invite néanmoins ses lecteurs à ne pas les essentialiser mais à les intégrer à un corpus plus large s’appuyant notamment sur la décence commune et la justice sociale.
En politique étrangère, longtemps la posture française fut celle du non-alignement et du pragmatisme, dicté par un souci d’indépendance nationale. Ces dernières années, le brouhaha médiatique et les décisions politiques tranchent avec cette tradition. Le point avec Rodolphe Cart, qui vient de sortir aux éditions de la Nouvelle Librairie Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires.
