
« Opération Re Mida », de Jesús Franco
L’histoire du cinéma est parfois ironique. Ainsi, l’anticlérical le plus antifranquiste des metteurs en scène espagnols se nommait… Jesús Franco ! Certes, dans ses mémoires, récemment traduits en français,
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L’histoire du cinéma est parfois ironique. Ainsi, l’anticlérical le plus antifranquiste des metteurs en scène espagnols se nommait… Jesús Franco ! Certes, dans ses mémoires, récemment traduits en français,
Sur l’épineux dossier du nucléaire iranien, Donald Trump a ouvert une parenthèse qui semble aujourd’hui se refermer. Mais la personnalité de l’homme est si complexe qu’on ne saurait
Nos lecteurs amateurs de football se réjouissent évidemment de la prochaine Coupe du monde de 2022. Qu’elle doive se tenir au Qatar est déjà un brin moins réjouissant pour lesdits amateurs.
Ce n’est pas parce qu’une noble cause – les violences faites aux femmes, en l’occurrence – se trouve défendue par des féministes très énervées que la cause en question en devient grotesque pour autant. Pareillement, si le mouvement #MeToo s’est, tôt, changé en entreprise de délation à échelle mondiale, il n’empêche que tout cela n’est pas né de rien et que, dans l’industrie cinématographique, certains puissants en prenaient plus qu’à leurs aises avec la gent féminine.
La chose est depuis longtemps avérée : les mômes ne respectent plus grand-chose, et surtout pas leurs parents. Voilà qui se disait naguère à droite, mais devient de plus en plus flagrant à gauche. Salauds de jeunes !
Fondé en 2016 par Gabriel Amard, Le Journal de l’insoumission sera désormais disponible en kiosques. Se définissant comme « 100 % citoyen et sans pub », on sent tout de suite que
Il faudrait être bien naïf pour croire qu’un changement de locataire à la Maison-Blanche puisse changer quoi que ce soit à la couleur des orientations géostratégiques de Washington.
Depuis le 16 janvier dernier, les amateurs de belle et grande musique sont en deuil, mort de Phil Spector oblige. Certes, le grand homme a rendu l’âme en prison, là où il purgeait une peine de dix-neuf ans pour le meurtre d’une ex-starlette de série B, l’infortunée Lana Clarkson. Certes, une fois encore, si Phil Spector a été reconnu coupable des faits, sa culpabilité n’aura jamais été véritablement démontrée et encore moins prouvée. La Justice américaine a parfois ses raisons que souvent la raison ignore.
Sale temps, pour Sciences Po, grande école des élites autoproclamées, aujourd’hui plus que malmenée entre polémiques relatives à la chute d’Olivier Duhamel et celles de talibans racialistes en passe de prendre le contrôle de la vieille maison en question.
Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins. En effet, qui avait entendu parler de « Société anonyme anti-crime » ? Probablement personne.
Si Michel Marmin n’existait pas, il ne faudrait surtout pas oublier de l’inventer, sachant qu’avec l’historien Jean Tulard et le cinéaste Bertrand Tavernier, il est du trio de tête de
Les films sur la Reconquista sont rares. Il y a évidemment Le Cid, d’Anthony Mann, dans lequel Charlton Heston campe un héros très loin de la réalité de celui