Le magazine des idées

Jean Montalte

Articles

Devant l'église Saint-Jean-Baptiste-au-Béguinage, occupée par des sans-papiers en grève de la faim, à Bruxelles, le 2 juin 2021.

Origines et fins de l’antiracisme (3)

« De quoi l’antiracisme est-il ne nom ? », certes la formule est désormais éculée mais la pertinence du questionnement demeure. Et c’est à cette interrogation que tente de répondre Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue Éléments, dans une série d’articles retraçant l’historique, les tenants, les aboutissants et les non-dits de ce phénomène devenu une sorte de religion civile.

Aux origines de l'antiracisme (deuxième partie) : « L'idéologie française » de Bernard-Henri Lévy

Aux origines de l’antiracisme (2) : « L’idéologie française » de Bernard-Henri Lévy

« De quoi l’antiracisme est-il ne nom ? », certes la formule est désormais éculée mais la pertinence du questionnement demeure. Et c’est à cette interrogation que tente de répondre Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue Éléments, dans une série d’articles retraçant l’historique, les tenants, les aboutissants et les non-dits de ce phénomène devenu une sorte de religion civile.

Origines et fins de l'idéologie antiraciste (1)

Origines et fins de l’idéologie antiraciste (1)

« De quoi l’antiracisme est-il ne nom ? », certes la formule est désormais éculée mais la pertinence du questionnement demeure. Et c’est à cette interrogation que tente de répondre Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue « Éléments », dans une série d’articles retraçant l’historique les tenants, les aboutissants et les non-dits de ce phénomène devenu une sorte de religion civile.

Charles Bukowski

Le développement personnel selon Bukowski

En France, Charles Bukowski est peut-être davantage connu pour son passage hautement alcoolisé dans l’émission « Apostrophes » que pour son œuvre littéraire assez largement oubliée, l’époque ne semblant plus très sensible à la prose âpre et virile du « white trash » écorché vif et cabossé. Ce qui n’est pas le cas de Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue Éléments, qui nous plonge dans les tréfonds d’une œuvre tragique et lucide, crue et violente ; à mille lieues des mièvreries contemporaines qui encombrent les étals des librairies comme des boites de lexomil sur l’étagère d’une pharmacie.

Wittgenstein et la « station d'essais de la fin du monde »

Wittgenstein et la « station d’essais de la fin du monde »

Prolongeant le portrait qu’il lui consacre dans le numéro 212 de notre revue, actuellement en kiosques, Jean Montalte, auditeur de la promotion « Léonidas » de l’Institut Iliade, poursuit son exploration de la pensée et de l’œuvre de Ludwig Wittgenstein, figure atypique et trop méconnue de la philosophie moderne à laquelle il cherche à appliquer les outils d’analyse de la logique mathématique.

L'Aube des Formes et la Nuit sans langage

L’Aube des Formes et la Nuit sans langage

Détruire le langage est l’ultime objectif des néo-barbares, également appelés « déconstructeurs », qui, trop écrasés par une culture dont ils se savent indignes, veulent nous plonger dans une profonde et interminable nuit. Fort heureusement, quelques éclaireurs, dont Platon et Pierre Boutang, nous rattachent encore à la clarté du jour. Jean Montalte nous entraîne sur leurs pas.

Le journal « La Croix » : du bon Dieu à Bourdieu

Le journal « La Croix » : du bon Dieu à Bourdieu

La droite identitaire et l’Évangile, incompatibles ? Telle est la thèse assénée par le quotidien « La Croix » à ses lecteurs dans un énième effort pour concilier encens et encanaillement progressiste. Hier catholique, aujourd’hui vaguement sociologique, « La Croix » entonne le refrain usé d’un christianisme dévoyé qui se jette dans les bras de l’« extrême droite ». La vérité, c’est qu’il ne s’agit plus de sauver les âmes, mais de sauver les apparences : celles d’un catholicisme libéral à bout de souffle, incapable d’incarner autre chose qu’un humanitarisme sirupeux et déconnecté – celui des pharisiens, d’hier et d’aujourd’hui.

Hitler et les fossoyeurs du Destin

Hitler et les fossoyeurs du Destin

Du changement de nom du père d’Adolf Hitler à l’analyse incisive de Don DeLillo sur l’obsession hitlérienne contemporaine, Jean Montalte explore les ramifications historiques, philosophiques et culturelles d’un concept dépassé mais omniprésent : l’hitlérocentrisme. Une sorte de bunker mental dont il serait peut-être temps de sortir.

Le Temps : entre rythmes et durée

Le Temps : entre rythmes et durée

Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue Éléments, nous plonge dans la vertigineuse question du « temps », dont l’étude serait la « tâche préliminaire à toute métaphysique » selon Gaston Bachelard. Entre querelles scientifiques et controverses philosophiques, non, le temps n’est pas un long fleuve tranquille.

Les vertus de la négation

Les vertus de la négation

Contre la soumission conformiste et la fausse rébellion des postures et des impostures, Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue Éléments, prône une curiosité intellectuelle sans carcan ni limites et des lectures échappant à toutes les contingences partisanes et aux diktats claniques.

Les Mânes d'Edgar Poe profanées sur Arte

Les Mânes d’Edgar Poe profanées sur Arte

La télévision se penche rarement sur la littérature. Quand elle le fait, c’est parfois pour le meilleur, souvent pour le pire. Car la littérature et ses géants supportent mal les relectures anachroniques, moralistes, idéologisées et bien pensantes dont raffolent tant les journalistes contemporains. Cette fois, c’est la chaîne « Arte » qui s’est penchée sur le cas d’Edgar Poe. Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade et collaborateur de la revue Éléments, réagit à ce documentaire. Et il n’est pas content.

Renovatio Cloaca

Renovatio Cloaca

Ah, l’ennui, la médiocrité, la soumission, l’apathie générale ! Voilà ce qui menace de nous engloutir. Comment s’en défendre, comment lutter ? C’est ce à quoi s’attelle Jean Montalte dans ce texte au ton très personnel, entre sarcasmes mordants et néologismes baroques, qui plaide pour une renaissance vitale et un sursaut dionysiaque.