L’alimentation toute une histoire
Méridien Zéro nous invite à une réflexion avec l’économiste Guillaume Travers : « comment faire évoluer les secteurs alimentaires à contresens d’un monde interdépendant et globalisé ? » Radio Méridien Zéro
Accueil > Archives pour Guillaume Travers > Page 3
Méridien Zéro nous invite à une réflexion avec l’économiste Guillaume Travers : « comment faire évoluer les secteurs alimentaires à contresens d’un monde interdépendant et globalisé ? » Radio Méridien Zéro
Entretien sur Radio Courtoisie avec Guillaume Travers dans la matinale Ligne Droite du 12 octobre 2021 de Clémence Houdiakova. La société de surveillance et le passe sanitaire, stade ultime du libéralisme ?
Dans le cadre du libre journal des historiens sur radio courtoisie, Philippe Conrad recevait Guillaume Travers, économiste et collaborateur de la revue Éléments, pour évoquer l’histoire économique de
L’imposition du « passe sanitaire » le démontre :la possibilité d’une vie sociale normale est de plus en plus conditionnée à la conformité à une norme abstraite, plus ou moins arbitraire, de nature juridique ou morale. Plaidoyer pour un retour du politique.
Un entretien très intéressant de notre rédacteur Guillaume Travers pour le site « The Conservative Enthousiast ». Le moyen de mieux connaitre le célèbre économiste de la revue « Éléments » et de l’institut Iliade.
On parle beaucoup de la capacité de Patrick Buisson à dire l’avenir politique et social. Pour qui prend la peine de le lire, il saute aux yeux que cette capacité de prédiction ne lui vient pas d’un regard essentiellement tourné vers le futur, mais vers l’histoire. Peut-être mieux que quiconque, il saisit la singularité de l’instant présent en le replaçant dans le temps long. C’est ainsi seulement que peuvent apparaître les lignes de force temporairement occultées, les clivages souterrains qui, tôt ou tard, reparaissent au grand jour. La fin d’un monde est une illustration saisissante de sa capacité à saisir les traits saillants d’une époque.
Le corporatisme a mauvaise presse, il est quasiment devenu synonyme d’immobilisme. Mais à l’heure des « bullshit jobs », il pourrait redonner un sens au travail. Dans un nouvel essai, clair, synthétique et dense, qui ne surévalue pas les vertus de son objet (pas plus qu’il ne les sous-estime), « Corporations et corporatisme. Des institutions féodales aux expériences modernes », paru aux éditions de la Nouvelle Librairie, Guillaume Travers retrace l’histoire de ce qui fut bien plus qu’un mode d’organisation des métiers : l’expression d’une vision de l’ordre social. Avec ce nouveau volume, l’économiste d’« Éléments » et de l’Institut Iliade poursuit ainsi son exploration du temps long économique, en quête d’expériences et de modèles susceptibles de constituer des alternatives au rouleau compresseur de l’économiquement correct.
Entretien de notre rédacteur et économiste Guillaume Travers au Think Tank « Droite de demain ». Il est l’auteur de plusieurs essais dont Pourquoi tant d’inégalités?, Capitalisme moderne et société de marché : l’Europe sous le règne de la quantité et Économie médiévale et société féodale : un temps de renouveau pour l’Europe.
La revue « Front Populaire a interrogé notre rédacteur Guillaume Travers à propos de son livre « Capitalisme moderne et société de marché », il essaye d’analyser, dans le développement du capitalisme, le déploiement concomitant du règne de la quantité.
Dans le cadre du Libre journal du monde de la philosophie sur Radio Courtoisie, Rémi Soulié reçoit Guillaume Travers, essayiste, professeur d’économie, journaliste à Éléments à propos de
« Il faut craindre l’homme d’un seul livre », disait saint Thomas d’Aquin. Le philosophe Alain de Benoist et l’économiste Guillaume Travers l’ont pris au mot. Avec le concours d’une quarantaine d’auteurs, ils nous offrent ce qui pourrait constituer une bibliothèque idéale : une sélection de 200 œuvres qui ont marqué l’histoire de la pensée de notre continent. L’Europe des idées qui donne une idée de l’Europe.
PIERRE SAINT-SERVANT. Telle qu’elle est traitée médiatiquement et politiquement, l’économie est réduite à des querelles techniques. Vous faites au contraire le choix de la ramener à la philosophie.