Le magazine des idées

Guillaume Travers

Articles

Passeports sur éléments

Le marché des passeports ou la mondialisation de la citoyenneté

La mondialisation, c’est aussi l’ouverture d’un nouveau marché, celui des passeports, une industrie florissante pour les plus riches (mais aussi parfois les plus pauvres). Champs communs, le laboratoire d’idées de la reterritorialisation de Guillaume Travers, remonte la filière.

Joe Biden dans éléments

Genèse de l’impérialisme américain

Champs communs, le laboratoire d’idées de la reterritorialisation de Guillaume Travers, se penche aujourd’hui sur la tentation impériale américaine inscrite dans la « destinée manifeste » à partir de L’Amérique empire, le dernier livre de Nikola Mirković.

Le numérique tuera-t-il le politique ?

Le numérique tuera-t-il le politique ?

Connaissez-vous Champs communs ? C’est le laboratoire d’idées de la reterritorialisation que Guillaume Travers, l’économiste en titre d’« Éléments », vient de lancer. L’objectif ? Mener une réflexion de fond sur les « communs », à la croisée du politique et de l’économique. Et faire émerger les outils susceptibles de reterritorialiser le monde. Chaque semaine, le site d’« Éléments » publiera un article, une étude, une recension de Champs communs. Un partenariat fructueux. Cette semaine : les problématiques que la déterritorialisation numérique soulève.

Femme enceinte au travail

Faut-il abolir la maternité pour que le salaire des hommes et des femmes soit égal ?

Depuis vendredi 4 novembre, les femmes travailleraient gratuitement ! Voici ce qu’on entend en boucle depuis une semaine. « Fake news » ? Certes, les femmes gagnent moins que les hommes, mais pour l’essentiel c’est parce qu’elles posent des congés maternité. Une aliénation pour les féministes ! Loin des clichés commodes, Guillaume Travers, auteur de Capitalisme et société de marché et traducteur d’Amour, luxe et capitalisme de Werner Sombart, ainsi qu’Anne Trewby, cofondatrice des Antigones, auteur du Néoféminisme à l’assaut d’Internet, rappellent quelques vérités occultées dans la matinale de Clémence Houdiakova sur radio courtoisie.

Sandrine Rousseau

Ce que la crise écologique doit aux femmes: réfutation de Sandrine Rousseau

Sandrine Rousseau publie une brochure introduisant le concept d’« androcène ». Pour elle, les hommes sont les principaux responsables de la crise écologique. Exploitation de la nature, capitalisme, colonialisme, guerres, etc., sont des produits de la domination masculine. Guillaume Travers, auteur de nombreux articles consacrés à l’écologie dans Éléments, est aussi le traducteur d’un livre de Werner Sombart, « Amour, luxe et capitalisme », qui ouvre des perspectives radicalement différentes. Si la crise écologique a une origine sexuée, celle-ci est bien davantage à rechercher… chez les femmes.

Werner Sombart

Connaissez vous Werner Sombart ?

Guillaume Travers était l’invité de Méridien Zéro à propos du penseur Werner Sombart et de son Qui suis-je ? Werner Sombart aux éditions Pardès. Tour à tour historien,

La bibliothèque littéraire du jeune européen

La Bibliothèque littéraire du jeune Européen sous la houlette d’Alain de Benoist et Guillaume Travers

Difficile de transporter une bibliothèque avec soi. C’est la gageure qu’ont tenue Alain de Benoist et Guillaume Travers. Après la « Bibliothèque du jeune Européen » qui présentait 200 essais, voici la « Bibliothèque littéraire » qui offre un panorama continental de plus de 400 œuvres de fiction, de l’Antiquité à nos jours, d’Est en Ouest, du Sud au Nord. Une véritable somme sur l’âme de l’Europe.

La surveillance

« Au nom de la fluidité, nous assistons à une montée de la surveillance »

Professeur d’économie et essayiste, Guillaume Travers vient de publier « La société de surveillance, stade ultime du libéralisme », aux éditions La Nouvelle librairie. Il y développe une thèse provocatrice : la société de surveillance n’est pas une anomalie du libéralisme, mais sa conclusion logique. Un entretien de la revue « Front Populaire »

Surveillance

Surveiller et punir. Le contrôle social à l’heure covidienne et post-covidienne

On n’a jamais autant parlé de société de surveillance que depuis que le gouvernement a instauré le « pass sanitaire ». Or, le coronavirus n’aura joué dans cette affaire qu’un rôle d’accélérateur. La surveillance est inscrite dans le projet libéral et le capitalisme mondialisé. Dans un livre bref et percutant en diable, « La société de surveillance, stade ultime du libéralisme » (La Nouvelle Librairie), Guillaume Travers en dresse la généalogie.

Biographie : Collabore à la revue Éléments et enseigne l’économie en école de commerce. Il écrit principalement sur les sujets économiques.
Livres : Corporations et corporatisme (La Nouvelle Librairie) Capitalisme moderne et société de marché (La Nouvelle Librairie) Bibliothèque du jeune européen (Le Rocher, coauteur avec Alain de Benoist) Économie médiévale et société féodale (La Nouvelle Librairie) Pourquoi tant d’inégalités ? (La Nouvelle Librairie)