Hiroshima, de la paix au Japon à la paix en Ukraine
On se souvient du mot de Clemenceau : « La guerre est une chose trop grave pour la confier à des militaires. » Et si, aujourd’hui, c’était l’inverse. La guerre est une chose trop grave pour la confier aux politiques. Le sommet orwellien du G7 à Hiroshima, au mois de mai, rebaptisé « sommet de la paix », en fut l’illustration. Explication de Gérard Conio.