Télétravail, Famille, Patrie
François Bousquet était l’invité de Pierre Bergerault pour l’émission « Le Zoom » sur TV Libertés pour son dernier livre.
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François Bousquet était l’invité de Pierre Bergerault pour l’émission « Le Zoom » sur TV Libertés pour son dernier livre.
Dans le cadre de l’émission « Le monde de la philosophie », Rémi Soulié recevait le 21 septembre sur Radio Courtoisie François Bousquet pour son livre Biopolitique du coronavirus, Éditions
Entretien de François Bousquet sur Breizh-Info.com à propos de son dernier livre « Biopolitique du coronavirus ».
Causeur : « Peu de journalistes arrivent à la cheville de François Bousquet. Le rédacteur en chef d’Élements doit notamment à ses années aux éditions L’Âge d’homme son immense culture littéraire doublée d’une érudition sans faille. Sur le ton militant de ses derniers pamphlets, il consacre un essai mordant à l’épidémie de trouille qui étreint l’Occident : Biopolitique du coronavirus. Télétravail, famille, patrie croque les travers de la mondialisation avec style et cruauté. Entretien avec un homme révolté au milieu des ruines. »
Le confinement avait fourni à François Bousquet l’occasion de se lancer dans un feuilleton rock’n’roll consacré à la « biopolitique du coronavirus ». Il vient d’en tirer un livre assorti d’une longue préface « programmatique ». Quelles leçons tirer de la pandémie de Covid-19 pour les pensées dissidentes ? Crier au complot ou y voir une opportunité politique ?
Ce sont des soudards. Des surhommes qui ne se sont jamais agenouillés. Qui ne se sont jamais excusés. Qui ne se sont jamais soumis. Ni repentance, ni pénitence.
C’est aventureux pour une maison d’édition comme la Nouvelle Librairie de publier un roman. Un roman, il faut l’aimer, le chérir, le défendre comme un enfant, même si ce n’est pas le vôtre, comme une femme, même si c’est celle d’un autre. C’est un coup de cœur, un coup sur le cœur. Un traître mot, de Thomas Clavel, réunit toutes ces qualités, il suscite d’emblée un élan de sympathie et d’admiration. Pourquoi ? Parce qu’il touche directement le cœur du mal contemporain : la corruption du langage, le cancer de la langue, par toutes les formes de politiquement correct. Un grand livre sur l’époque, cette « grande époque », comme disait ironiquement Karl Kraus, grand scrutateur du langage.
Alors tout recommence comme avant ? Certains n’en doutent pas, d’autres le redoutent. Bilan d’un confinement fortuit et perspectives d’un déconfinement indécis.
A-t-on des nouvelles de Monsieur Jean Raspail, se demandait-on ces dernières années sur le ton où Louis XVI s’enquerrait du voyage autour du monde de Monsieur de Lapérouse ? Eh bien nous en avons et elles sont mauvaises. Jean Raspail nous a quittés, il a rejoint le camp des saints et des héros. Gageons que, là où il est, il suit une fois de plus ses propres pas, selon la devise des Pikkendorff qu’il avait adoptée.
Annoncé prématurément en vente, l’album – avec des photos de guerre à couper le souffle – Gilets jaunes. Une année d’insurrection et de révolte dans Paris, est enfin disponible à la Nouvelle Librairie. 1 500 clichés au cœur des défilés. Ma-gni-fi-que ! Le tout préfacé par Édouard Limonov, juste avant sa mort. Entretien avec le seul non-photographe de la bande, Yvan Hardoy, qui a signé les textes de présentation et les légendes.
Je suis sociologiquement dominante, politiquement progressiste, sexuellement indéterminée. Si Les Inrocks et France Inter devaient avoir une icône, elle porterait mon nom. La reine du nouveau monde, c’est moi. Le seul truc, c’est que je ne suis pas noire – mais ça viendra !
S’il y a un sport à qui le confinement a bien profité, c’est le motocross. Seul ou en peloton, il a gagné les banlieues comme une traînée de poudre – blanche et explosive. Alors, l’immigration bientôt sport olympique ?