
Nouvelle École : à la découverte de Tolkien
Voici un Nouvelle École appelé à faire date : Tolkien, sa vie, son œuvre, son imaginaire. Nous avons demandé à son maître d’œuvre, Armand Berger, d’en présenter les grandes lignes.
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Voici un Nouvelle École appelé à faire date : Tolkien, sa vie, son œuvre, son imaginaire. Nous avons demandé à son maître d’œuvre, Armand Berger, d’en présenter les grandes lignes.
Richard Millet persiste et signe. Il y a une dizaine d’années, il avait avancé dans l’émission de Frédéric Taddeï, « Ce soir (ou jamais !) » que le vrai dépaysement pour un Blanc, c’est le RER parisien. Aujourd’hui, il replonge pour en tirer un livre-vérité, ce que doit être toute bonne littérature. Alors, après Le ventre de Paris, Paris bas-ventre ? Après Zola, Millet ? Oui ! Mais si on a gagné au change, littérairement parlant, il n’en va de même humainement. Jusqu’où descendra-t-on ? Jusqu’au dernier niveau du RER !
Tout le monde connaît Fdesouche, moins son fondateur, Pierre Sautarel. Quelle tête a la tête de gondole de la réinfosphère ? Eh bien, elle est bien faite, à l’affût de la rumeur du monde, comme un poste récepteur, puis émetteur, branché H24. Pierre Sautarel est aussi discret que son site est connu et reconnu. Nous avons pu le rencontrer longuement dans le cadre d’un dossier consacré au phénomène identitaire. Retrouvez notre reportage dans le nouveau numéro d’« Éléments » papier, actuellement en kiosques. En attendant, François Bousquet fait les présentations en exclusivité pour le site d’« Éléments ».
Thomas Clavel, qui vient de signer aux Éditions de la Nouvelle Librairie un roman bouleversant consacré à l’hygiénisme covidiste, Hôtel Beauregard, intervient au meeting d’Action française en l’honneur de Jeanne d’Arc. Comment rester libre à l’heure du coronavirus ? « En brisant les commandements barrières qui font de nous des êtres barrières » !
Deux phrases maladroites de Patrick Buisson, prononcées sur BFM, ont déclenché une petite tempête. String ou voile, trottinette ou tapis de prière, « Homo festivus » ou « Homo religiosus ? » Retour sur une polémique qui cache bien d’autres enjeux.
À ceux qui douteraient que le Grand Remplacement est la vérité occultée de notre temps, le ministère de la Censure, en l’occurrence la plateforme YouTube, vient de le rappeler en retirant la vidéo de l’entretien que Renaud Camus a donné à Bercoff dans son émission (Sud Radio) à l’occasion de la parution du « Grand Remplacement » aux éditions de la Nouvelle Librairie.
Le néo-féminisme a massivement investi la Toile avec succès (pensons aux hashtags viraux façon #MeToo). Comment cette offensive s’est-elle mise en place ? C’est l’objet de la brochure très renseignée, rédigée par Anne Trewby, présidente des Antigones, dans la collection de l’Ojim à la Nouvelle Librairie : « Le néo-féminisme à l’assaut d’Internet » Une analyse aussi bienvenue qu’exhaustive.
L’assimilation revient à la mode. Elle n’a pourtant jamais aussi mal fonctionné. Assimiler qui et à quoi ? À l’heure où les vies qui comptent le moins sont celles des peuples autochtones, l’assimilationnisme, jacobin dans son essence, se heurte à quelque chose de plus fort que lui : des peuples résolument étrangers. Michel Geoffroy, énarque, contributeur à Polémia, retrace l’histoire de cet échec programmé dans « Immigration de masse, L’assimilation impossible », une brochure roborative qui vient de paraître aux éditions de la Nouvelle Librairie.
Éléments lance une série de vidéos grand format : « Les portraits d’Éléments», face caméra. Un rendez-vous bimestriel, avec des intellos, des artistes, des aventuriers, des politiques, des économistes, des chefs d’entreprise… Des personnalités hors norme, inattendues, détonantes, qui ont quelque chose à dire, pas quelque chose à vendre. Un homme, un parcours, des idées. Jean-François Daloz, qui est à la manœuvre, répond à nos questions.
Frédéric Taddeï reçoit Erwan Le Noan, membre du cabinet de conseil Altermind, Maxime Tandonnet, haut fonctionnaire, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, et François Bousquet, rédacteur en
Il y a un an sur le plateau de CNews, face à Zemmour, Marlène Schiappa expliquait que Renaud Camus avait guidé le cerveau du tueur de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, une cinquantaine de morts au tableau. Une diffamation que l’auteur du Grand Remplacement ne pouvait pas laisser passer. Il s’est donc constitué partie civile. L’audience se tenait ce vendredi. Petit reportage sur la farce judiciaire française.
Un second roman est toujours attendu, surtout quand le premier a été salué par la critique indépendante et plébiscité par les lecteurs. Il faut à la fois confirmer et se renouveler. C’est la gageure qu’a relevée Thomas Clavel dans une fiction sobrement – et mystérieusement – intitulée Hôtel Beauregard, qui peut se lire comme la catharsis d’une société qui, par temps de coronavirus, de « cancel culture », d’effacement des visages, a sombré dans la folie collective de la dénonciation « citoyenne ». Hôtel Beauregard est tout cela et bien plus que cela.