Les carnets de Dominique Venner, une mine d’or
Entretien sur Radio Courtoisie avec François Bousquet dans la matinale Ligne Droite de Clémence Houdiakova et Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro Magazine pour la parution du volume
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Entretien sur Radio Courtoisie avec François Bousquet dans la matinale Ligne Droite de Clémence Houdiakova et Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro Magazine pour la parution du volume
Voici un texte dont les freundiens connaissaient depuis longtemps l’existence, mais dont la publication était sans cesse ajournée : les « Lettres de la vallée, Méditations philosophiques et politiques ». Pour la première fois réunies en volume, aux éditions de la Nouvelle Librairie, ces lettres offrent un panorama des préoccupations de Freund. Gilles Banderier, qui les a éditées et postfacées, y voit la clef de voûte où se rejoignent les grands thèmes de sa pensée. Il répond à nos questions.
Éditeur, libraire, militant de toutes les causes, Gilles Soulas (1955-2021) nous a brutalement quittés au petit matin, en ce dimanche 26 septembre. À près de 70 ans, rien n’avait pourtant vieilli en lui. Au contraire, tout était clair, le regard, l’attitude, le visage. On n’est pas prêt de l’oublier.
C’est un événement éditorial considérable pour nous, la publication posthume des Carnets rebelles de Dominique Venner (1935-2013), dont le premier volume vient d’être édité par la Nouvelle Librairie. 400 pages qui seront suivies de milliers d’autres. Une somme, à la hauteur de l’homme que fut Dominique Venner.
La librairie Les Deux Cités, à Nancy, vient de subir une nouvelle attaque gauchiste, un an après son ouverture, marquée déjà par un déchaînement de sottises et de violence. FSU, Solidaires, CGT et autres s’étaient alors « courageusement » ligués contre Alexis Forget et Sylvain Durain, fondateurs et gérants de la librairie. Hier, mardi 21 septembre, c’était le ban et l’arrière-ban du gauchisme pastèque – vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur – qui ont fait brutalement irruption dans la librairie, renversant les rayonnages et menaçant le libraire. Évidemment, les journaux n’en ont pas parlé. Évidemment, on n’a pas entendu le ministre de la Culture s’indigner. Évidemment, la plupart des confrères, plus empressés à cacher le livre de Zemmour, n’ont pas levé le petit doigt. Silence radio – complice donc. Qui soutiendra Les Deux Cités ? Nous, vous ! Nous avons interrogé Alexis Forget qui, hier, a reçu la visite de ces barbares repeints aux couleurs antinucléaires qui, en fait de déchets et d’enfouissement, en connaissent un rayon.
Radio Courtoisie est en deuil. Dominique Paoli, sa présidente, est décédée ce dimanche. Elle était la courtoisie même — et le choix de la continuité lors de son élection
Qui avait entendu parler du privilège blanc avant que le mouvement Black Lives Matter, à la suite de la mort de George Floyd, en 2020, ne lui donne une audience internationale ? Pas grand monde en vérité. Un mort plus tard (et des centaines de manifestations), tout le monde en parle et ne parle même plus que de cela. Comment en sommes-nous arrivés là ? C’est l’objet même du livre de Georges Guiscard : « Le privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ? », paru à la Nouvelle Librairie sous le parrainage de l’Institut Iliade. Une enquête fouillée, première du genre, qui sort à point nommé.
La Librairie « Les deux Cités », à Nancy, a ouvert ses portes l’an dernier, tout début octobre. Nous avions alors rencontré ses fondateurs et gérants, Sylvain Durain et Alexis Forget, alors qu’ils faisaient l’objet d’attaques et de manifestations de la gauche et l’extrême gauche locale. Un an plus tard, la librairie « Les deux Cités » est plus que jamais là. Elle organise même un salon du livre parallèle les 11 et 12 septembre, en marge du Livre sur la Place, le traditionnel salon nancéien. Bilan et perspectives.
Radio Courtoisie se professionnalise et lance sa matinale, 07H – 09H, animée par Clémence Houdiakova, ex-Sud Radio. Objectif : imposer un ton beaucoup plus impertinent et incorrect dans
Qu’est-ce qui fait tourner le monde ? L’argent, le sexe, l’envie ? Rien de tout cela, répond Patrick Buisson. Le carburant des hommes, c’est la croyance, pas la croissance. C’est
« Cela ne sert à rien d’être roi, ce qui compte c’est de fonder un royaume. » Telle est la voie royale, celle que suivait Jean Raspail. De royaumes, il en a fondé un et enfanté plusieurs. Là-bas, au loin, si loin… Ils ne peuvent pas mourir. Son exil est le nôtre. Nous en sommes les réfugiés, fraîchement naturalisés. Si la mort du consul général de Patagonie nous a laissés inconsolés, elle n’a pas fait de nous des orphelins. Au contraire. Un an après sa mort, le 13 juin 2020, ses amis et ses admirateurs se sont réunis pour lui rendre un magnifique hommage aux éditions de la Nouvelle Librairie. La parole au maître d’œuvre de ce chantier : Adrien Renouard.
La filmographie de Cheyenne-Marie Carron s’étoffe un peu plus. Avec La beauté du monde, elle poursuit son exploration des cœurs ardents, cette fois-ci brisés, quand le fracas des