Le magazine des idées

François Bousquet

Articles

Briser le tabou du racisme antiblanc !

Briser le tabou du racisme antiblanc !

À l’occasion de la sortie de son livre enquête sur le racisme antiblanc, aux éditions de la Nouvelle Librairie, François Bousquet était l’invité de Pascal Praud sur Cnews pour évoquer ce drame endémique encore trop souvent minimisé voire nié par les médias et les « élites » embarrassés par une violence systémique qui ne rentre pas dans le cadre de leur logiciel idéologique.

Fuir ou subir, seule alternative des « petits blancs » ?

Fuir ou subir, seule alternative des « petits blancs » ?

Dans ce nouveau numéro de Tocsin, Clémence Houdiakova reçoit François Bousquet, directeur de la rédaction d’Éléments, à l’occasion de la sortie, aux éditions de la Nouvelle Librairie, de son livre-enquête sur le racisme anti-blanc. Dans une société où les « victimes » sont devenues les nouvelles icônes, ce statut est dénié aux Blancs confrontés à la haine et à la violence de voyous issus des « minorités », elles aussi déifiées. François Bousquet nous explique pourquoi et comment l’existence de ce racisme anti-blanc est devenu l’un principaux tabous de l’époque.

Du coup d’État des juges au coup d’État général…

Du coup d’État des juges au coup d’État général…

D’un déni de démocratie, l’autre… Désormais, un peu partout en Europe, quand le peuple vote ou prévoit de voter pour un candidat non-conforme aux exigences libérales-libertaires du Marché et de ses relais au sein de l’Union Européenne, sa volonté est systématiquement entravée par des décisions juridiques coercitives. Pour « Tocsin », Nicolas Vidal et François Bousquet reviennent sur cette dérive autoritaire et ses possibles conséquences en France après le jugement d’inéligibilité frappant Marine Le Pen.

Défendre la langue française, un impératif civilisationnel !

Défendre la langue française, un impératif civilisationnel !

À l’heure où l’on nous annonce quotidiennement la troisième guerre mondiale, la défense de la langue française peut apparaître comme un sujet secondaire, voire futile. Il n’en est évidemment rien et il ne s’agit nullement là d’une préoccupation d’esthètes mais bien d’un combat culturel, identitaire et civilisationnel fondamental. Car la langue n’est pas qu’un moyen de communication, c’est un outil de structuration de la pensée et d’appréhension et de compréhension du monde, c’est le vecteur d’une conception particulière, spécifique, de l’existence et de l’environnement qui l’accueille. C’est pourquoi la revue Éléments vient de lancer une grande pétition en ligne pour mobiliser l’opinion sur cette question trop négligée. François Bousquet, directeur de la rédaction de la revue, présente cette initiative et ses motivations au micro de Richard de Sèze et Liselotte Dutreuil, sur Radio Courtoisie.

Pasolini en BD, la lutte avec l’ange

Pasolini en BD, la lutte avec l’ange

Romancier, cinéaste, essayiste, peintre, journaliste – poète d’abord, poète surtout… Pier Paolo Pasolini (1922-1975) fut tout cela et bien plus encore. Un prophète du passé, eût dit Barbey d’Aurevilly, marxiste jamais vraiment repenti et chrétien jamais vraiment avoué, ange et démon. C’est à lui que rendent magnifiquement hommage Arnaud Delalande, Denis Gombert et Éric Liberge dans « L’Ange Pasolini » (Denoël), un album puissant où le noir et blanc épouse la clarté tragique d’une « vie violente ». La meilleure des manières d’ouvrir les commémorations du cinquantenaire de sa mort.

De l’encre au linceul : les écrivains face à la mort

De l’encre au linceul : les écrivains face à la mort

Que reste-t-il d’un écrivain une fois la dernière page tournée ? C’est à cette question que répond Robin Nitot dans « La plume et le tombeau. Dix écrivains face à la mort » (Éditions Salvator). Mais loin d’être une simple anthologie des dernières paroles, son ouvrage se lit comme une enquête littéraire et existentielle, retraçant la trajectoire de ces écrivains jusqu’à leur dernier souffle. Un livre captivant.

Nicolas Battini, le nationalisme corse et la France (2/2)

Nicolas Battini, le nationalisme corse et la France (2/2)

Le nationalisme corse attendait son aggiornamento – il a tardé à venir. C’est qu’il fallait un homme pour l’accomplir. Cet homme, c’est Nicolas Battini. Avec « Le Sursaut corse. L’identité plutôt que l’indépendance » (L’Artilleur), il signe un livre-manifeste et un livre-mandat aussi décisif que « Pour une critique positive » de Dominique Venner. Car il remet la Corse debout, là où le nationalisme insulaire titubait, lesté d’une rhétorique tiers-mondiste anachronique, plaquée comme une prothèse idéologique sur une terre européenne. Aux autonomistes qui n’en finissent pas de geindre sur une Corse colonisée, Battini oppose un couperet : les Corses ne sont pas des colonisés, ils se sont laissé coloniser par des extra-Européens. D’où l’urgence d’un sursaut. Une dynamique qu’il incarne depuis 2021 avec Palatinu, association culturelle devenue, en 2024, une force politique : Mossa Palatina. Son livre en est l’acte fondateur. Il démonte les mythes mensongers de la « libération nationale » et balise les chemins d’une renaissance. Second acte de notre portrait-analyse.

Nicolas Battini, le nationalisme corse et la France (1/2)

Nicolas Battini, le nationalisme corse et la France (1/2)

Le nationalisme corse attendait son aggiornamento – il a tardé à venir. C’est qu’il fallait un homme pour l’accomplir. Cet homme, c’est Nicolas Battini. Avec « Le Sursaut corse. L’identité plutôt que l’indépendance » (L’Artilleur), il signe un livre-manifeste et un livre-mandat aussi décisif que « Pour une critique positive » de Dominique Venner. Car il remet la Corse debout, là où le nationalisme insulaire titubait, lesté d’une rhétorique tiers-mondiste anachronique, plaquée comme une prothèse idéologique sur une terre européenne. Aux autonomistes qui n’en finissent pas de geindre sur une Corse colonisée, Battini oppose un couperet : les Corses ne sont pas des colonisés, ils se sont laissé coloniser par des extra-Européens. D’où l’urgence d’un sursaut. Une dynamique qu’il incarne depuis 2021 avec Palatinu, association culturelle devenue, en 2024, une force politique : Mossa Palatina. Son livre en est l’acte fondateur. Il démonte les mythes mensongers de la « libération nationale » et balise les chemins d’une renaissance. Premier acte de notre portrait-analyse.

« Être Charlie » est devenu une injonction inquisitoriale !

« Être Charlie » est devenu une injonction inquisitoriale !

Dans cette édition de la matinale de « Frontières » François Bousquet, directeur de la rédaction de la revue Éléments, et Rémi Tell, journaliste et écrivain, commentent l’actualité et reviennent notamment sur la commémoration du dixième anniversaire de l’attentat islamiste ayant frappé « Charlie Hebdo ». Pour eux, la légitime indignation suscitée par ce massacre ne doit pas conduire à la célébration obligatoire d’un journal porteur d’un corpus idéologique des plus discutables, entre humour scatologique anti-religieux, nihilisme et détestation du « beauf » français. Surtout en un temps où les prétendus « Charlie » multiplient les attaques contre la liberté d’expression de tous ceux qui ne partagent pas leurs opinions et leur vision du monde.

Quand l’antiracisme mène à la négation des crimes

Quand l’antiracisme mène à la négation des crimes

Dans ce nouveau numéro de « Ligne Droite », sur Radio Courtoisie, Liselotte Dutreuil interroge François Bousquet, directeur de la rédaction de la revue Éléments, et Philippe Prigent, avocat, à propos de la terrible affaire de viols de masse commis en Angleterre par des gangs pakistanais. Un système de criminalité sexuelle organisée, clanique, comptant des milliers de victimes essentiellement issues du prolétariat blanc, que médias et politiques ont tenté de cacher puis de minimiser au nom d’une idéologie « antiraciste » dévoyée, masochiste et mortifère.

De l’État-nation à l’État-civilisation : une révolution géopolitique en marche. Une analyse de Gérard Dussouy (2/2)

Dans un essai passionnant, Gérard Dussouy explore le passage d’une mondialisation libérale à une mondialité pluriverselle, où les spécificités culturelles et civilisationnelles reviennent au premier plan. Ainsi fonctionne, ainsi raisonne l’État-civilisation, un modèle dans lequel, à rebours de l’État-nation westphalien, les notions de puissance et d’identité culturelle s’entremêlent de manière indissociable. Inscrits dans le temps long, ces États-civilisations témoignent de la résilience des identités culturelles face aux dérives universalistes de l’Occident. Il serait temps que l’Europe le comprenne si elle veut jouer un rôle dans le nouvel équilibre global en train de se construire. Second volet de notre entretien exceptionnel.

Biographie : Né en 1968, après des études de lettres, il a été éditeur-gérant à L’Âge d’Homme. Journaliste à Valeurs actuelles, Le Spectacle du Monde et la revue Éléments. Depuis 2015, il est devenu rédacteur en chef de la revue Éléments. Il est par ailleurs directeur de la Nouvelle Librairie.
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