Le magazine des idées

Daoud Boughezala

Articles

Annie Lacroix-Riz : pour en finir avec le mythe de l’« aide » américaine

Annie Lacroix-Riz : pour en finir avec le mythe de l’« aide » américaine

Attention, historienne hors-cadre ! Marxiste-léniniste assumée, Annie Lacroix-Riz subit l’ostracisme de la communauté universitaire et le boycott des médias depuis une quarantaine d’années. Son nouvel ouvrage Les origines du Plan Marshall. Le mythe de “l’aide” américaine (Armand Colin, 2023) devrait déplaire aux atlantistes de tous bords

CBD : la France accro au bien-être (2/2)

CBD : la France accro au bien-être (2/2)

Malgré ses vapeurs nauséabondes, le salon du CBD (cannabidiol), qui se tient porte de Versailles, ne sent pas le soufre. Sous mille déclinaisons, VRP, charcutiers et brasseurs nous promettent le bonheur sans ordonnance. Qu’il est loin le temps où les paradis artificiels devaient mener à la révolution. A l’ère du vide, le culte du bien-être facilite la domestication des masses. Reportage (2ème partie).

CBD : la France accro au bien-être

CBD : la France accro au bien-être (1/2)

Malgré ses vapeurs nauséabondes, le salon du CBD (cannabidiol), qui se tient porte de Versailles, ne sent pas le soufre. Sous mille déclinaisons, VRP, charcutiers et brasseurs nous promettent le bonheur sans ordonnance. Qu’il est loin le temps où les paradis artificiels devaient mener à la révolution. A l’ère du vide, le culte du bien-être facilite la domestication des masses. Reportage (1ère partie).

Dario Argento hante le Quartier latin

Dario Argento hante le Quartier latin

C’est le maître du « giallo », un cinéma de genre à la croisée du polar, du film d’horreur et de l’érotisme. Mais Dario Argento le transcende pour signer des films très personnels. Maîtrise formelle, esthétique baroque, horreur sophistiquée. Rétrospective à l’Écoles cinéma club pour le découvrir.

Une tragédie en Ray-ban et perfecto

Une tragédie en Ray-ban et perfecto

Pourquoi les années 70 nous fascinent-elles tant ? Sur fond de guerre froide, cette ère de liberté sexuelle a fait germer toutes les déconstructions dont nous goûtons aujourd’hui les fruits rancis. Au cours de cette saison terroriste, dans l’Italie comme dans l’Allemagne post-68, les militants de rue jouissaient sans temps mort… et frappaient sans entraves. Il faut voir ou revoir le film de Carlo Lizzani, « San Babila, un crime inutile », pour en retrouver l’ambiance.