
Un Jack London de la France profonde
On avait laissé Philibert Humm sur un quai de Honfleur, après avoir vaillamment descendu la Seine en canoë dans « Roman fleuve ». Il repart à l’aventure, non plus fluviale mais ferroviaire cette fois, dans « Roman de gare », à la manière des hobos américains – de Jack London à Jack Kerouac – qui voyageaient cachés dans des trains de marchandises. Avec son ton décalé et son humour poétique, il nous emporte dans son baluchon, direction la France éternelle.