Dépression américanisée
Thomas Molnar écrivait dans « L’Américanologie : Triomphe d’un modèle planétaire ? » en 1991: « la question ne se pose plus de savoir si le modèle américain est le meilleur, le plus digne d’être imité, il est adopté par défaut de concurrents ». Dans son nouveau roman « Touchdown Journal de guerre », Olivier Amiel mène une réflexion sur l’américanisation qui nous submerge, rarement pour le meilleur et souvent pour le pire, mais sans pour autant la rejeter en bloc.