Venu spécialement à Paris pour participer au IXe colloque national GRECE, l’écrivain britannique Anthony Burgess a bien voulu, en dehors de cette manifestation, accorder un entretien à notre ami Michel Marmin. À propos de son nouveau livre, « La folle semence », qui vient de paraître aux éditions Robert Laffont, l’auteur de « L’orange mécanique » explique pourquoi il n’aime pas les systèmes politiques qui prétendent modifier la nature humaine en vertu de croyances utopiques et pourquoi il préfère l’individu aux masses.
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