Pour ce nouvel opus du « Libre Journal de la Nouvelle Droite », sur Radio Courtoisie, Xavier Eman reçoit David l’Épée, Daoud Boughezala et Rodolphe Cart pour évoquer quelques-uns des sujets traités dans le numéro 215 de la revue Éléments, qui vient de paraître. Un programme riche et éclectique, entre histoire du naturisme, guerre au Proche-Orient, littérature anglaise et philosophie.
Dans cet article à contre-courant, Frédéric Saint Clair convoque Athéna, déesse grecque de la guerre intelligente, pour penser les conflits du XXIe siècle à rebours du prêt-à-penser moral occidental. De l’Ukraine à Gaza, de l’Iran à Israël, il démonte l’illusion humanitaire et celle du droit international, pour réaffirmer la centralité de la puissance dans les relations internationales. Face aux discours dépolitisés, Athéna ricanerait : la guerre n’a jamais cessé d’être le prolongement de la politique. C’est vrai plus encore à l’heure des grands blocs civilisationnels. Merci au site « Première Nouvelle » où cette analyse a d’abord été publiée.
Il y a un moment que les Insoumis avaient du mou dans la corde à nœuds et que ça branlait sévèrement du manche. Mais là, c’est le feu d’artifice, comme si François Pignon, le héros de L’Emmerdeur et du Dîner de cons, s’était installé aux commandes. D’où cette tragicomédie en trois actes.
La guerre « préventive » de douze jours, qui a récemment opposé Israël et l’Iran, a allègrement bafoué le droit international. Pour Thierry Coville, chercheur à l’IRIS et spécialiste de l’Iran, cette confrontation rappelle à bien des égards la guerre d’Irak de 2003 menée contre d’introuvables armes de destruction massive. La République islamique se voit confortée dans sa méfiance à l’égard de l’Occident, tandis que les Européens peinent à défendre une position autonome face à Washington et Tel Aviv. Entretien.
Le ticket présidentiel est une spécificité éminemment étatsunienne. Mais, à l’instar du rock and roll et du hula hoop, elle a fini par pénétrer nos contrées. D’où ce binôme inédit, formé par Marine Le Pen et Jordan Bardella. Avenir radieux ou un seul fauteuil pour deux ? L’avenir le dira.
Il est une idée répandue, en particulier dans la Nouvelle Droite : la technique moderne, avec son lot de dévastations, serait d’origine chrétienne. Quelqu’un d’aussi savant et lucide qu’Alain de Benoist [1] écrivait encore récemment que c’est dans le livre de la Genèse, où Dieu enjoint à l’homme de « soumettre » la terre, que « s’inaugure déjà le déploiement planétaire et inconditionné de l’essence de la technique moderne. » Cette thèse mérite discussion.
Que peut-il bien se passer dans la tête des électeurs de gauche ? Les esprits taquins répondront : rien. Le 12 juin dernier, « Le Nouvel Obs » tentait néanmoins de répondre à cette épineuse question avec l’aide de la Fondation Jean-Jaurès et des sondeurs d’Ipsos. Au final, il semble y avoir de la tempête sous les crânes progressistes.
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