Pour ce nouvel opus du Libre Journal de la Nouvelle Droite, sur Radio Courtoisie, Xavier Eman s’est entouré d’une équipe de choc composée des journalistes et écrivains Rodolphe Cart, Daoud Boughezala, et François Xavier Consoli pour évoquer les nouveaux numéros des revues Éléments et Livr’arbitres. Au menu du jour : Françafrique, Néo-réaction, Conquistadors, Révolution conservatrice, Stanley Kubrick et Jack London ! Un programme riche et éclectique, à l’image du foisonnant contenu de ces deux revues indépendantes et non-conformes.
L’intervention de Candace Owens sur l’affaire Brigitte Macron enflamme le Net et les réseaux sociaux. Ce n’est pas la fonction d’« Éléments » d’entrer dans cette affaire. En revanche, c’est la mission d’« Éléments » de poser la question qui fâche : les fonds publics français ont-ils été mobilisés pour financer la très coûteuse riposte judiciaire des Macron contre Candace Owens ?
La diplomatie n’est pas qu’une affaire de chancelleries et de protocoles feutrés. Karin Kneissl, ancienne ministre autrichienne des Affaires étrangères, incarne cette diplomatie de terrain, loin des postures médiatiques. Polyglotte, analyste incisive et experte en géopolitique, elle a tracé son propre chemin entre les capitales du monde, formant les générations futures tout en défiant les dogmes dominants. Son indépendance lui a valu des inimitiés féroces. Menacée, censurée, empêchée de travailler en Europe, elle a choisi de s’installer en Russie, où elle a fondé le centre G.O.R.K.I., un laboratoire d’idées géopolitiques. Son engagement en faveur du dialogue et de la souveraineté nationale dérange, tout comme sa critique sans concession des élites occidentales. Dans cet entretien-fleuve, Karin Kneissl revient sur la disparition de la diplomatie européenne, l’échec du multilatéralisme, l’hystérie antirusse et la crise du politique. Elle nous parle aussi d’endocrinologie, d’immigration et du basculement du monde vers un nouvel ordre. Une parole rare, tranchante et visionnaire.
Certains analystes de la CIA estiment désormais que le virus à l’origine de la pandémie de COVID-19 a plus que probablement pris naissance à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine. Une position que de nombreux experts de la santé avaient rejeté d’une main prompt et sûre dés le début de la pandémie, la qualifiant de « théorie du complot ».
Rien n’est joué, bien sûr, mais tout est possible et cette nouvelle année, pleine d’incertitudes, s’annonce passionnante pour le combat politique et culturel qui est le nôtre.
Dans ce contexte, notre revue – votre revue – entend bien jouer au maximum son rôle d’aiguillon intellectuel et de laboratoire d’idées, pour peser véritablement sur les nombreux débats qui s’annoncent, de la définition de l’identité aux nouvelles relations internationales en passant par les questions écologiques et celles du nécessaire dépassement du capitalisme libéral.
Détruire le langage est l’ultime objectif des néo-barbares, également appelés « déconstructeurs », qui, trop écrasés par une culture dont ils se savent indignes, veulent nous plonger dans une profonde et interminable nuit. Fort heureusement, quelques éclaireurs, dont Platon et Pierre Boutang, nous rattachent encore à la clarté du jour. Jean Montalte nous entraîne sur leurs pas.
Dans un monde où les vents politiques des États-Unis finissent toujours par souffler sur l’Europe, l’élection américaine de 2024 s’impose comme une leçon magistrale – ou un avertissement cuisant. Tandis que Donald Trump signe son grand retour, Louis Sarkozy, icône d’un centrisme mondialisé et inconsistant, se rêve en guide éclairé d’une France qui n’en demandait pas tant. Mais à force de singer les postures américaines sans en comprendre les fondamentaux, la droite française court le risque de répéter les erreurs du passé. Entre populisme triomphant et caricatures médiatiques, l’heure est à la lucidité – ou à la débâcle.
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