Une récente étude paléogénétique de près de 300 génomes vient révéler la façon dont les populations scandinaves se sont mélangées sous l’ère viking. Mais rien qui plaide en faveur de l’immigration, comme on a pu le lire ici ou là. Et pour cause : l’apport génétique est exclusivement féminin.
Pour s’être hybridés il y a 200 000 ans avec le quelque peu mystérieux Homme de Denisova, les habitants de Papouasie-Nouvelle-Guinée sont relativement bien adaptés aux maladies infectieuses présentes sous les tropiques.
Dans l’ouest de la Slovaquie, des archéologues ont fait une découverte macabre. Dans une tranchée percée il y a quelque 7 000 ans, ils ont exhumé plusieurs squelettes décapités. Rituel religieux ? Cas de cannibalisme ? Lutte pour l’espace ?
En 2016-2017, alors que l’élection de Trump et le vote du Brexit annonçaient des jours heureux pour le camp populiste, la France choisissait Macron. Elle le réélit même le 24 avril dernier. Entre-temps, il y eut pourtant les Gilets jaunes. Sans suite ? C’est du moins ce que beaucoup pronostiquèrent, la fin des Gilets jaunes scellant l’avenir du populisme. Et s’il en allait autrement ; et si le moment populiste français est toujours devant nous ?
La traduction en espagnol du Nouvel ordre érotique, un essai du philosophe italien Diego Fusaro, fournit l’occasion à notre ami Javier Portella d’analyser les nouvelles lignes de fracture qui traversent nos sociétés. Comment se fait-il que lui, Javier Portella, auteur de droite s’il en est, soit sur la même ligne que Diego Fusaro, résolument à gauche, dont la pensée procède des œuvres de Marx et Gramsci ? C’est que, sans occulter la permanence du clivage droite-gauche, le clivage aujourd’hui le plus déterminant est ailleurs. C’est autour de l’identité, du sentiment d’appartenance, de l’esprit communautaire qu’il se noue.
Sous-titré « Essais de théologie politique », au pluriel, La puissance et la foi (La Nouvelle Librairie) d’Alain de Benoist éclaire des questions essentielles, en particulier la querelle autour de la sécularisation. Pierre Le Vigan en présente les tenants et les aboutissants.
C’est la plus ancienne inscription runique jamais découverte. Vieille d’environ 2 000 ans, elle vient d’être trouvée en Norvège.